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Photo : Philippe Montigny
15/08/2023
EuroVolley : Nouveau challenge pour les Bleues !
Victorieuse en juillet de la Challenger Cup, l’équipe de France féminine débute cette semaine sa dernière grande compétition de l’été, l’EuroVolley 2023 (15 août-3 septembre). Les Bleues ont pris la direction de Tallinn, où elles affrontent mercredi le pays-hôte de ce groupe D, l’Estonie.
Une nouvelle aventure débute ! Moins de trois semaines après sa victoire en Challenger Cup, l’équipe de France féminine entame une nouvelle compétition ce mercredi, son dernier grand objectif de l’été, l’EuroVolley 2023 (15 août-3 septembre). Un rendez-vous majeur pour les Bleues, à moins d’un an des Jeux Olympiques de Paris 2024.
Il y a deux ans, en Serbie, les joueuses d’Emile Rousseaux avaient créé la surprise en atteignant les quarts de finale, un moment fondateur pour ce groupe. Au moment de se confronter à nouveau aux meilleures nations européennes, Héléna Cazaute et ses coéquipières ont maintenant deux ans d’expérience en plus, et surtout deux titres à leur palmarès, puisqu’elles ont remporté la Golden League l’an passé, avant donc la Challenger Cup cette année.
Ce succès en Challenger Cup va permettre à l’équipe de France de disputer l’an prochain la VNL, et d’intégrer ainsi le gratin du volley mondial, mais ne comptez pas sur cette équipe pour changer d’état d’esprit et annoncer un objectif précis sur ce championnat d’Europe. Comme l’explique leur capitaine (lire notre interview d’Héléna Cazaute), les Bleues vont garder la philosophie qui a fait leur succès ces dernières années, en abordant chaque match après l’autre, avec la même ambition, le même sérieux, et la même intention de tout donner pour aller chercher le meilleur résultat possible.
Leur attention se porte donc uniquement sur ce match contre le pays-hôte de ce groupe D, l’Estonie, mercredi soir à Tallinn (19h, heure française). Une rencontre forcément piégeuse, contre une équipe qui donnera tout devant son public. Et ce n’est qu’à l’issue de cette partie que le collectif tricolore se projettera sur ses adversaires suivants, à savoir l’Espagne, la Finlande, la Slovaquie et enfin les Pays-Bas, la nation la mieux classée de cette poule, 10e au ranking FIVB, tandis que les Bleues pointent désormais à la 18e place mondiale.
Emile Rousseaux a choisi de reconduire en grande partie le groupe qui a brillamment remporté la Challenger Cup à Laval, avec des succès contre le Viêt Nam (3-0), l’Ukraine (3-0) et la Suède (3-1). Il n’y a qu’un seul changement dans la liste des 14 joueuses, avec l’arrivée de la jeune réceptionneuse-attaquante Nawelle Chouikh-Barbez (18 ans), formée à l’IFVB, et qui remplace Sabine Haewegene.
Après une petite coupure dans la foulée de la Challenger Cup, les Bleues ont effectué la majeure partie de leur préparation en Allemagne, où elles ont affronté à deux reprises la sélection allemande, 11e au ranking mondial, pour deux défaites 3-1 et 3-2. Le cap a ensuite été mis sur l’Estonie, où la France jouera ses cinq matchs de poule. Il faudra terminer dans les quatre premiers du groupe pour rallier les huitièmes de finale, qui se disputeraient en Italie, à Florence, tout comme les quarts de finale. Les demi-finales et les finales sont programmées à Bruxelles (Belgique).
Les rencontres de l’équipe de France sur cet EuroVolley seront diffusées sur la chaîne L’Equipe ou la plateforme L’Equipe Live.
Il y a deux ans, en Serbie, les joueuses d’Emile Rousseaux avaient créé la surprise en atteignant les quarts de finale, un moment fondateur pour ce groupe. Au moment de se confronter à nouveau aux meilleures nations européennes, Héléna Cazaute et ses coéquipières ont maintenant deux ans d’expérience en plus, et surtout deux titres à leur palmarès, puisqu’elles ont remporté la Golden League l’an passé, avant donc la Challenger Cup cette année.
Ce succès en Challenger Cup va permettre à l’équipe de France de disputer l’an prochain la VNL, et d’intégrer ainsi le gratin du volley mondial, mais ne comptez pas sur cette équipe pour changer d’état d’esprit et annoncer un objectif précis sur ce championnat d’Europe. Comme l’explique leur capitaine (lire notre interview d’Héléna Cazaute), les Bleues vont garder la philosophie qui a fait leur succès ces dernières années, en abordant chaque match après l’autre, avec la même ambition, le même sérieux, et la même intention de tout donner pour aller chercher le meilleur résultat possible.
Leur attention se porte donc uniquement sur ce match contre le pays-hôte de ce groupe D, l’Estonie, mercredi soir à Tallinn (19h, heure française). Une rencontre forcément piégeuse, contre une équipe qui donnera tout devant son public. Et ce n’est qu’à l’issue de cette partie que le collectif tricolore se projettera sur ses adversaires suivants, à savoir l’Espagne, la Finlande, la Slovaquie et enfin les Pays-Bas, la nation la mieux classée de cette poule, 10e au ranking FIVB, tandis que les Bleues pointent désormais à la 18e place mondiale.
Emile Rousseaux a choisi de reconduire en grande partie le groupe qui a brillamment remporté la Challenger Cup à Laval, avec des succès contre le Viêt Nam (3-0), l’Ukraine (3-0) et la Suède (3-1). Il n’y a qu’un seul changement dans la liste des 14 joueuses, avec l’arrivée de la jeune réceptionneuse-attaquante Nawelle Chouikh-Barbez (18 ans), formée à l’IFVB, et qui remplace Sabine Haewegene.
Après une petite coupure dans la foulée de la Challenger Cup, les Bleues ont effectué la majeure partie de leur préparation en Allemagne, où elles ont affronté à deux reprises la sélection allemande, 11e au ranking mondial, pour deux défaites 3-1 et 3-2. Le cap a ensuite été mis sur l’Estonie, où la France jouera ses cinq matchs de poule. Il faudra terminer dans les quatre premiers du groupe pour rallier les huitièmes de finale, qui se disputeraient en Italie, à Florence, tout comme les quarts de finale. Les demi-finales et les finales sont programmées à Bruxelles (Belgique).
Les rencontres de l’équipe de France sur cet EuroVolley seront diffusées sur la chaîne L’Equipe ou la plateforme L’Equipe Live.
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Programme et résultats de l’EuroVolley 2023 :
Poule D, à Tallinn (Estonie), horaires en heure française:
Mercredi 16 août, 19h : Estonie/France
Vendredi 18 août, 19h : France/Espagne
Dimanche 20 août, 15h : France/Finlande
Lundi 21 août, 16h :France/Slovaquie
Mardi 22 août, 16h : Pays-Bas/France
Les 14 joueuses pour l'EuroVolley 2023 (entre parenthèses, les clubs de la saison 2022-2023) :
Réceptionneuses-Attaquantes : Halimatou Bah (Chamalières), Nawelle Chouikh-Barbez (France Avenir 2024), Amélie Rotar (Béziers), Héléna Cazaute (Chieri, Italie)
Centrales : Eva Elouga (Chamalières), Léandra Olinga Andela (Mulhouse), Amandha Sylves (Florence, Italie), Christina Bauer (Pays d’Aix Venelles)
Pointues : Guewe Diouf (Chamalières), Lucille Gicquel (Cuneo, Italie)
Passeuses : Emilie Respaut (Nantes), Nina Stojiljkovic (Calcit Kamnik, Slovénie)
Libéros : Juliette Gelin (Cannes), Amandine Giardino (Pays d’Aix Venelles)
Le staff : Emile Rousseaux (entraîneur), Félix André et Charles Gauthier (entraîneurs adjoints), Pablo Griboff (préparateur physique), Steven Plateau (statisticien), Thomas Thuet (médecin), Marjorie Brun et Guillaume Peyre (kinés), Christian Penigaud (préparateur mental), Emmanuel Fouchet (manager).
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