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29/07/2021
JO : Les Bleus ne vont rien lâcher
Avec deux défaites en trois rencontres, l’équipe de France ne réalise pas l’entame qu’elle espérait aux Jeux Olympiques de Tokyo. Mais les hommes de Laurent Tillie ont encore toutes leurs chances de rallier les quarts de finale, à condition de faire tomber les Russes et/ou les Brésiliens.
Rien n’est perdu ! C’est le mot d’ordre pour l’équipe de France aux Jeux Olympiques de Tokyo, malgré des résultats en deçà des attentes. "On espérait sortir de ces trois matchs avec au moins deux victoires, on ne va pas se le cacher", confiait ainsi Benjamin Toniutti après la défaite des Bleus contre l’Argentine (2-3), la deuxième en trois rencontres après le revers concédé d’entrée face aux Etats-Unis (0-3).
La situation est la suivante : la France pointe à la quatrième place de son groupe, mais c’est un classement un peu trompeur. Même s’il ne faut présumer de rien en volley, on peut imaginer que l’Argentine tiendra son rang contre la Tunisie vendredi, et repassera devant les Bleus, qui se retrouveraient alors en ballotage défavorable dans la course aux quarts de finale.
Les Tricolores ont deux matchs pour aller chercher leur qualification, et quels matchs ! Ils vont affronter le Comité olympique russe d’abord (vendredi, 14h45 heure française) puis le Brésil (dimanche, 4h05). Soit rien de moins que les deux derniers champions olympiques. Et sans aller trop loin dans les projections, on peut estimer qu’une victoire sera nécessaire (si possible 3-0 ou 3-1), et peut-être même deux. "Les calculs sont simples : si on veut passer, il faut faire deux gros matchs, se lâcher", explique Trevor Clevenot. "On va affronter deux favoris. Il faudra tout donner, et se battre tous les ballons", ajoute Benjamin Toniutti.
Sur cette étape à deux cols hors-catégorie, les Bleus vont donc débuter par la montagne russe. La bonne nouvelle ? Ces joueurs, ils les ont déjà battus ces dernières années, et pas qu’une fois : le bilan est de 8 victoires pour 5 défaites sous l’ère Laurent Tillie, avec un dernier succès en date en VNL cette année (3-1). La moins bonne nouvelle ? Il s’agit sans doute de la formation la plus impressionnante depuis le début du tournoi, la seule équipe encore invaincue dans les deux groupes. Les Russes ont sèchement dominé le Brésil (3-0), dans le sillage de leurs bombardiers Mikhaylov et Volkov.
Les Bleus y croient encore, parce qu’ils ont tout pour : l’envie est là, la cohésion d’équipe est toujours présente, le travail a été fait durant la préparation et le talent des joueurs ne s’est pas évaporé. Il ne manque sans doute pas grand-chose pour que cette équipe arrive à jouer pleinement libérée, et exprime son potentiel. "On a deux matchs à aller chercher, on va le trouver notre niveau, promet Jean Patry. Il faut continuer, il faut partir serein, positif, il ne faut pas qu'on cogite. De toute façon, on n'a plus rien à perdre." Et toute la France du volley sera derrière ses Bleus qui, on le sait, ne vont pas lâcher !
La situation est la suivante : la France pointe à la quatrième place de son groupe, mais c’est un classement un peu trompeur. Même s’il ne faut présumer de rien en volley, on peut imaginer que l’Argentine tiendra son rang contre la Tunisie vendredi, et repassera devant les Bleus, qui se retrouveraient alors en ballotage défavorable dans la course aux quarts de finale.
Les Tricolores ont deux matchs pour aller chercher leur qualification, et quels matchs ! Ils vont affronter le Comité olympique russe d’abord (vendredi, 14h45 heure française) puis le Brésil (dimanche, 4h05). Soit rien de moins que les deux derniers champions olympiques. Et sans aller trop loin dans les projections, on peut estimer qu’une victoire sera nécessaire (si possible 3-0 ou 3-1), et peut-être même deux. "Les calculs sont simples : si on veut passer, il faut faire deux gros matchs, se lâcher", explique Trevor Clevenot. "On va affronter deux favoris. Il faudra tout donner, et se battre tous les ballons", ajoute Benjamin Toniutti.
Sur cette étape à deux cols hors-catégorie, les Bleus vont donc débuter par la montagne russe. La bonne nouvelle ? Ces joueurs, ils les ont déjà battus ces dernières années, et pas qu’une fois : le bilan est de 8 victoires pour 5 défaites sous l’ère Laurent Tillie, avec un dernier succès en date en VNL cette année (3-1). La moins bonne nouvelle ? Il s’agit sans doute de la formation la plus impressionnante depuis le début du tournoi, la seule équipe encore invaincue dans les deux groupes. Les Russes ont sèchement dominé le Brésil (3-0), dans le sillage de leurs bombardiers Mikhaylov et Volkov.
Les Bleus y croient encore, parce qu’ils ont tout pour : l’envie est là, la cohésion d’équipe est toujours présente, le travail a été fait durant la préparation et le talent des joueurs ne s’est pas évaporé. Il ne manque sans doute pas grand-chose pour que cette équipe arrive à jouer pleinement libérée, et exprime son potentiel. "On a deux matchs à aller chercher, on va le trouver notre niveau, promet Jean Patry. Il faut continuer, il faut partir serein, positif, il ne faut pas qu'on cogite. De toute façon, on n'a plus rien à perdre." Et toute la France du volley sera derrière ses Bleus qui, on le sait, ne vont pas lâcher !