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05/04/2014
FINALES DE LA COUPE DE FRANCE
St Raphaël n'a pas fait dans le détail
La finale de Coupe de France fédérale féminine a tourné, samedi à Coubertin, à une démonstration de la part de Saint-Raphaël face à Vannes (3-0).
Saint-Raphaël et Vannes, finalistes de la Coupe de France fédérale féminine, ouvraient les hostilités d'une journée 100% volley samedi à Coubertin. Et les Varoises de l'Italien Giuli Bregoli ont marqué leur territoire très vite. D'une efficacité presque irréprochable au filet, les Sudistes imposent leur rythme pour prendre une légère avance (8-5). L'enjeu, de taille, fait commettre des erreurs techniques inhabituelles de part et d'autre, surtout au service. Vannes réussit à recoller à 16-16 sans toutefois parvenir à prendre les commandes. Logiquement, c'est Saint-Raphaël qui remporte la première manche (25-19).
Battues le 1er mars dernier par leur adversaire du jour en terres bretonnes, les filles de Giuli Bregoli sont bien décidées à prendre leur revanche. Et ça se voit. Malgré quelques sueurs froides en fin de deuxième set, elles font le break (25-23). Vannes, finaliste malheureux lors de la dernière édition (ndlr, défaite face à Terville) doit réagir. Pour la première fois, les Bretonnes prennent l'avantage (4-2). Mais comme lors des deux premiers sets, les Azuréennes reprennent la main et le VVB se contente de limiter la casse. Sans parvenir à rivaliser avec Saint-Raphaël, faute de régularité.
"Défensivement, on a eu du mal en réception et quand on n'est pas en confiance en réception on est moins concentré au service, c'est lié", expliquait l'entraîneur du VVB Thibaut Gosselin à l'issue de la rencontre. Sur une dernière faute directe adverse, les joueuses de Saint-Raphaël pouvaient laisser éclater leur joie (25-17), au grand dam du technicien breton. "Saint-Raphaël était plus fort que nous aujourd'hui. Il n'y a aucune excuse, analysait-il. On revient en fin de deuxième set et l'idée était de rester dans la même dynamique. Dommage. Mais quoiqu'il en soit je suis fier de mes joueuses."
Du côté des gagnantes, la capitaine serbe, Tanja Grbic, ne cachait pas sa joie après ce succès : "C’est exceptionnel. C'est grâce au travail des filles et du staff qu'on en est là aujourd'hui. Ce match était psychologiquement très important pour la suite de la saison car nous allons rencontrer Vannes dans un mois lors d'un match sûrement décisif pour l'accession en Ligue A." Programmé le 3 mai prochain dans le Var, ce match sent déjà la poudre. En attendant, Saint-Raphaël peut savourer sa victoire.
Saint-Raphaël et Vannes, finalistes de la Coupe de France fédérale féminine, ouvraient les hostilités d'une journée 100% volley samedi à Coubertin. Et les Varoises de l'Italien Giuli Bregoli ont marqué leur territoire très vite. D'une efficacité presque irréprochable au filet, les Sudistes imposent leur rythme pour prendre une légère avance (8-5). L'enjeu, de taille, fait commettre des erreurs techniques inhabituelles de part et d'autre, surtout au service. Vannes réussit à recoller à 16-16 sans toutefois parvenir à prendre les commandes. Logiquement, c'est Saint-Raphaël qui remporte la première manche (25-19).
Battues le 1er mars dernier par leur adversaire du jour en terres bretonnes, les filles de Giuli Bregoli sont bien décidées à prendre leur revanche. Et ça se voit. Malgré quelques sueurs froides en fin de deuxième set, elles font le break (25-23). Vannes, finaliste malheureux lors de la dernière édition (ndlr, défaite face à Terville) doit réagir. Pour la première fois, les Bretonnes prennent l'avantage (4-2). Mais comme lors des deux premiers sets, les Azuréennes reprennent la main et le VVB se contente de limiter la casse. Sans parvenir à rivaliser avec Saint-Raphaël, faute de régularité.
"Défensivement, on a eu du mal en réception et quand on n'est pas en confiance en réception on est moins concentré au service, c'est lié", expliquait l'entraîneur du VVB Thibaut Gosselin à l'issue de la rencontre. Sur une dernière faute directe adverse, les joueuses de Saint-Raphaël pouvaient laisser éclater leur joie (25-17), au grand dam du technicien breton. "Saint-Raphaël était plus fort que nous aujourd'hui. Il n'y a aucune excuse, analysait-il. On revient en fin de deuxième set et l'idée était de rester dans la même dynamique. Dommage. Mais quoiqu'il en soit je suis fier de mes joueuses."
Du côté des gagnantes, la capitaine serbe, Tanja Grbic, ne cachait pas sa joie après ce succès : "C’est exceptionnel. C'est grâce au travail des filles et du staff qu'on en est là aujourd'hui. Ce match était psychologiquement très important pour la suite de la saison car nous allons rencontrer Vannes dans un mois lors d'un match sûrement décisif pour l'accession en Ligue A." Programmé le 3 mai prochain dans le Var, ce match sent déjà la poudre. En attendant, Saint-Raphaël peut savourer sa victoire.
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