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Photo : CNOSF/KMSP
28/07/2024
Krou/Gauthier-Rat et Placette/Richard ambitieux
Après Aline Chamereau et Clémence Vieira dimanche, c’est au tour des paires Youssef Krou/Arnaud Gauthier-Rat et Lézana Placette/Alexia Richard d’entrer en lice lundi au stade Tour Eiffel. Avec pour chacune l’ambition de sortir de leurs poules respectives.
Dans le tournoi masculin, Youssef Krou et Arnaud Gauthier-Rat attaquent la compétition par un premier match, à 16h, face à une paire qu’ils connaissent bien pour l’avoir plusieurs fois croisée sur le Beach Pro Tour, composée de l’ancien joueur de NBA, Chase Budinger, qui s’est reconverti dans le beach en 2017, et de Miles Evans, associés depuis le début de l’année 2023. "C’est une équipe très talentueuse, qui a fait une course olympique assez remarquable en partant avec le statut de challengers pour la sélection américaine pour finalement décrocher sa qualification devant des duos de très bon niveau", commente Arnaud Gauthier-Rat. Qui ajoute : "On les a battus les trois dernières fois qu’on les a joués, donc on a plutôt un bon feeling, mais ça ne veut rien dire, le tournoi olympique, c’est vraiment à part."
Pour les deux Français, l’objectif dans la poule F, également composée des Espagnols Pablo Herrera/Adrian Gavira, qu’ils affronteront mardi, et des Néerlandais Stefan Boermans/Yorick De Groot (match vendredi), est clairement de parvenir à se hisser pour les huitièmes de finale. "En dehors des Hollandais qu’on n’a jamais joués, on a battu les deux autres équipes, c’est une poule très homogène dans laquelle tout le monde peut espérer se qualifier", ajoute Arnaud Gauthier-Rat (27 ans), qui fait équipe depuis 2022 avec l’expérimenté Youssef Krou (35 ans), les deux hommes ayant notamment signé une victoire historique sur le Beach Pro Tour fin 2022 en remportant le tournoi Elite 16 de Torquay, en Australie.
"Tous les deux, on a prouvé qu’on était capables de gagner contre les meilleures équipes, dont celles qui sont présentes aux Jeux, estime Youssef Krou. On sait que quand on est à notre meilleur niveau, on peut rivaliser avec n’importe qui." Restera à évoluer à ce niveau dans un stade Tour Eiffel dont Arnaud Gauthier-Rat dit : "C’est un stade exceptionnel, indescriptible, irréel, avec la Tour Eiffel derrière, c’est le meilleur terrain sur lequel j’ai joué dans toute ma carrière."
Un terrain sur lequel leur succéderont à 21h Lézana Placette et Alexia Richard, parvenues à offrir à la France un deuxième quota (en plus de celui attribué au pays organisateur) grâce à leurs performances ces deux dernières saisons sur le Beach Pro Tour, une première pour le beach féminin depuis les Jeux de Sydney 2000. Tombées dans une « poule de la mort », les n°1 françaises attaquent le tournoi par un affrontement contre la paire allemande composée de la championne olympique à Rio et championne du monde 2017 (avec Kira Walkenhorst), Laura Ludwig (38 ans), et de Louisa Lippmann (29 ans).
"C’est une poule difficile, avec trois paires qui tournent bien, mais Lézana et Alexia auront clairement leur mot à dire", estime Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley à la Fédération Française de Volley. Ce premier match sera sans doute décisif pour la qualification pour les huitièmes de finale pour les deux Tricolores qui affronteront ensuite les Espagnoles Daniela Alvarez/Tania Moreno (n°16 mondiales) et les redoutables Suissesses Tanja Hüberli/Nina Brunner (n°7 mondiales), championnes d’Europe en titre.
Leur objectif pour leurs premiers JO ? "On n’est pas du genre à se mettre la pression, mais avec Lézana (Placette), on veut revenir avec un petit bout de la Tour Eiffel, puisque dans chaque médaille, il y en a un, c’est une part de l’histoire française, ça fait rêver, répond Alexia Richard. Mais on va prendre les objectifs un à un et déjà essayer de sortir des poules, donc de gagner des matchs. Et on va surtout essayer de prendre du plaisir, car c’est quand on en prend avec Lézana qu’on joue bien. On va donner le maximum, on veut surtout sortir de là avec zéro regret."
Pour les deux Français, l’objectif dans la poule F, également composée des Espagnols Pablo Herrera/Adrian Gavira, qu’ils affronteront mardi, et des Néerlandais Stefan Boermans/Yorick De Groot (match vendredi), est clairement de parvenir à se hisser pour les huitièmes de finale. "En dehors des Hollandais qu’on n’a jamais joués, on a battu les deux autres équipes, c’est une poule très homogène dans laquelle tout le monde peut espérer se qualifier", ajoute Arnaud Gauthier-Rat (27 ans), qui fait équipe depuis 2022 avec l’expérimenté Youssef Krou (35 ans), les deux hommes ayant notamment signé une victoire historique sur le Beach Pro Tour fin 2022 en remportant le tournoi Elite 16 de Torquay, en Australie.
"Tous les deux, on a prouvé qu’on était capables de gagner contre les meilleures équipes, dont celles qui sont présentes aux Jeux, estime Youssef Krou. On sait que quand on est à notre meilleur niveau, on peut rivaliser avec n’importe qui." Restera à évoluer à ce niveau dans un stade Tour Eiffel dont Arnaud Gauthier-Rat dit : "C’est un stade exceptionnel, indescriptible, irréel, avec la Tour Eiffel derrière, c’est le meilleur terrain sur lequel j’ai joué dans toute ma carrière."
Un terrain sur lequel leur succéderont à 21h Lézana Placette et Alexia Richard, parvenues à offrir à la France un deuxième quota (en plus de celui attribué au pays organisateur) grâce à leurs performances ces deux dernières saisons sur le Beach Pro Tour, une première pour le beach féminin depuis les Jeux de Sydney 2000. Tombées dans une « poule de la mort », les n°1 françaises attaquent le tournoi par un affrontement contre la paire allemande composée de la championne olympique à Rio et championne du monde 2017 (avec Kira Walkenhorst), Laura Ludwig (38 ans), et de Louisa Lippmann (29 ans).
"C’est une poule difficile, avec trois paires qui tournent bien, mais Lézana et Alexia auront clairement leur mot à dire", estime Christophe Victor, responsable du secteur beach-volley à la Fédération Française de Volley. Ce premier match sera sans doute décisif pour la qualification pour les huitièmes de finale pour les deux Tricolores qui affronteront ensuite les Espagnoles Daniela Alvarez/Tania Moreno (n°16 mondiales) et les redoutables Suissesses Tanja Hüberli/Nina Brunner (n°7 mondiales), championnes d’Europe en titre.
Leur objectif pour leurs premiers JO ? "On n’est pas du genre à se mettre la pression, mais avec Lézana (Placette), on veut revenir avec un petit bout de la Tour Eiffel, puisque dans chaque médaille, il y en a un, c’est une part de l’histoire française, ça fait rêver, répond Alexia Richard. Mais on va prendre les objectifs un à un et déjà essayer de sortir des poules, donc de gagner des matchs. Et on va surtout essayer de prendre du plaisir, car c’est quand on en prend avec Lézana qu’on joue bien. On va donner le maximum, on veut surtout sortir de là avec zéro regret."
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