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Photo : Ligue de Guyane de volley-ball
23/09/2023
La Guyane a accueilli l’élite sud-américaine de beach-volley
Le deuxième tour de la Continental Cup sud-américaine s’est déroulé cette semaine à Cayenne. L’occasion pour le public local de voir à l’œuvre quelques-unes des toutes meilleures paires du monde.
La célèbre Place des Palmistes de Cayenne, épicentre de la capitale de la Guyane française, a accueilli de lundi à jeudi le deuxième tour de la Contintental Cup sud-américaine, compétition qui, comme c’est le cas pour son pendant européen, délivre à son vainqueur un quota pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, à l'issue du troisième et dernier tour qui sera disputé en juin prochain.
"C'est une grande première pour le territoire d'organiser une qualification olympique. Nous sommes très impatients de recevoir cette étape qui est la consécration de notre travail", confiait avant le coup d’envoi de l’épreuve dans les colonnes du quotidien local France Guyane Marc-Olivier Anatole, président de la Ligue de Guyane de volley-ball. Celle-ci a été à pied d’œuvre pour organiser ce tournoi auquel ont participé des paires qui évoluent pour certaines dans les plus hautes sphères du beach-volley international.
C’est notamment le cas des cousins chiliens Esteban et Marco Grimalt - futurs adversaires des Français Julien Lyneel/Rémi Bassereau au premier tour des championnats du monde début octobre à Tlaxcala (Mexique) -, vainqueurs de ce deuxième tour de la Continental Cup qui, la plupart du temps, se sera déroulé devant des tribunes pleines, preuve de l’attrait du public local pour le beach-volley et le sport de haut niveau.
14e au classement mondial, les Chiliens ont disposé en finale et en deux sets (24-22, 21-15) des frères argentins Nicolas et Tomas Capogrosso (23e) qui seront également opposés à la paire Lyneel/Bassereau en phase de poules des Mondiaux ! Le podium a été complété par les Brésiliens Gabriel/Felipe Alves.
Du côté féminin, la victoire est revenue aux Argentines Ana Gallay/Brenda Churin, qui ont dominé en finale les Paraguayennes Erika/Michelle (21-16, 21-18), les Brésiliennes Josi/Talita se classant troisièmes. A noter que des paires guyanaises participaient à ce tournoi, le duo Jean-Christi Coelho/Joël Sarucco ayant réussi un très bon parcours en atteignant les quarts de finale, battu par les futurs médaillés de bronze, les Brésiliens Gabriel/Felipe Alves.
"C'est une grande première pour le territoire d'organiser une qualification olympique. Nous sommes très impatients de recevoir cette étape qui est la consécration de notre travail", confiait avant le coup d’envoi de l’épreuve dans les colonnes du quotidien local France Guyane Marc-Olivier Anatole, président de la Ligue de Guyane de volley-ball. Celle-ci a été à pied d’œuvre pour organiser ce tournoi auquel ont participé des paires qui évoluent pour certaines dans les plus hautes sphères du beach-volley international.
C’est notamment le cas des cousins chiliens Esteban et Marco Grimalt - futurs adversaires des Français Julien Lyneel/Rémi Bassereau au premier tour des championnats du monde début octobre à Tlaxcala (Mexique) -, vainqueurs de ce deuxième tour de la Continental Cup qui, la plupart du temps, se sera déroulé devant des tribunes pleines, preuve de l’attrait du public local pour le beach-volley et le sport de haut niveau.
14e au classement mondial, les Chiliens ont disposé en finale et en deux sets (24-22, 21-15) des frères argentins Nicolas et Tomas Capogrosso (23e) qui seront également opposés à la paire Lyneel/Bassereau en phase de poules des Mondiaux ! Le podium a été complété par les Brésiliens Gabriel/Felipe Alves.
Du côté féminin, la victoire est revenue aux Argentines Ana Gallay/Brenda Churin, qui ont dominé en finale les Paraguayennes Erika/Michelle (21-16, 21-18), les Brésiliennes Josi/Talita se classant troisièmes. A noter que des paires guyanaises participaient à ce tournoi, le duo Jean-Christi Coelho/Joël Sarucco ayant réussi un très bon parcours en atteignant les quarts de finale, battu par les futurs médaillés de bronze, les Brésiliens Gabriel/Felipe Alves.
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