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25/08/2021
France-Azerbaïdjan : huitièmes en vue
L’équipe de France féminine est de retour ce mercredi dans la Stark Arena de Belgrade pour affronter l’Azerbaïdjan à l’occasion de son quatrième match de l’EuroVolley 2021. Si les filles d’Emile Rousseaux seront qualifiées pour les huitièmes de finale en cas de victoire à trois points, elles seront avant tout focalisées sur le fait de confirmer leur bonne prestation face à la Bosnie.
Surtout ne pas penser à l’enjeu. Deux ans après un EuroVolley qui les avait vues dominer d’entrée la Bulgarie (3-2), supérieure sur le papier, avant de passer à côté des matchs supposés être à leur portée (Grèce, Finlande), les joueuses de l’équipe de France ont revu leur logiciel mental, avec une approche de la compétition simple, résumée par leur sélectionneur Emile Rousseaux : "On se dit qu’on va sur le terrain pour gagner tous les matchs, en sachant aussi qu’on peut perdre."
Une approche qui leur a plutôt réussi lundi, puisque, après avoir été logiquement battues par la Russie non sans démériter (3-1), puis contre la Serbie (3-0), les jeunes Bleues sont apparues libérées face à la Bosnie, un adversaire plus abordable, avec à la clé une belle prestation collective et une victoire 3-0 très précieuse dans la course à la qualification pour les huitièmes de finale de l’EuroVolley 2021.
"On ne s’est pas focalisés sur le résultat, mais plus sur ce qu’il fallait mettre en place pour faire déjouer cette équipe de Bosnie composée de joueuses expérimentées, on est tout le temps restés dans le moment présent, les joueuses ont parfaitement appliqué les consignes et sont restées agressives du début à la fin, je trouve qu’on a progressé là-dessus", analyse l’un des deux adjoints d’Emile Rousseaux, Félix André. Les Tricolores ont en outre retrouvé lors de ce troisième match une Héléna Cazaute en pleine forme (21 points), la capitaine ayant été perturbée juste avant la compétition par des douleurs au dos qui l’ont obligée à couper quelques jours, d’où un manque de rythme lors des deux premières rencontres.
Le travail bien fait face à la Bosnie, il s’agit désormais de confirmer ce mercredi (17h) face à une équipe d’Azerbaïdjan déjà éliminée du tournoi, dont elle dispute son dernier match aujourd’hui, puisqu’elle a perdu ses quatre matchs 3-0. Pour la France, les données sont simples : une victoire 3-0 ou 3-1 leur assurerait mathématiquement une place en huitièmes de finale avant leur dernier match jeudi contre les Belges, ce qui serait déjà une très belle performance vu le niveau de la poule A.
Les partenaires de la pointue Lucile Gicquel sauront-elles, comme face à la Bosnie, oublier ce contexte pour ne se concentrer que sur le jeu, comme le leur demande leur staff ? "On ne peut pas vivre les yeux fermés par rapport à la réalité, on connaît forcément le classement de la poule, on sait que s’il y a une victoire, ça sera sans doute un ticket pour la qualification, sachant que l’objectif qu’on s’était fixé était de sortir de cette poule compliquée. On voit que notre équipe évolue, on veut valider ça par quelque chose de concret. Maintenant, ça ne doit pas être notre pensée première, on doit avant tout être focus sur le jeu qu’on a à produire", répond Félix André.
Qui attend de ses joueuses face à une équipe azérie qu’elles avaient battue 3-1 puis 3-0 fin mai-début juin lors de la Golden League européenne – renforcée depuis par la pointue Margarita Stepanenko et la centrale Olena Kharchenko – la même qualité de service et la même solidarité défensive que contre la Bosnie. "L’Azerbaïdjan est une équipe qui a une certaine densité physique, avec de la taille et des attaquantes qui peuvent vite prendre feu quand elles sont en confiance, elle peut nous embêter, à nous de jouer notre jeu", conclut l’adjoint d’Emile Rousseaux.
Une approche qui leur a plutôt réussi lundi, puisque, après avoir été logiquement battues par la Russie non sans démériter (3-1), puis contre la Serbie (3-0), les jeunes Bleues sont apparues libérées face à la Bosnie, un adversaire plus abordable, avec à la clé une belle prestation collective et une victoire 3-0 très précieuse dans la course à la qualification pour les huitièmes de finale de l’EuroVolley 2021.
"On ne s’est pas focalisés sur le résultat, mais plus sur ce qu’il fallait mettre en place pour faire déjouer cette équipe de Bosnie composée de joueuses expérimentées, on est tout le temps restés dans le moment présent, les joueuses ont parfaitement appliqué les consignes et sont restées agressives du début à la fin, je trouve qu’on a progressé là-dessus", analyse l’un des deux adjoints d’Emile Rousseaux, Félix André. Les Tricolores ont en outre retrouvé lors de ce troisième match une Héléna Cazaute en pleine forme (21 points), la capitaine ayant été perturbée juste avant la compétition par des douleurs au dos qui l’ont obligée à couper quelques jours, d’où un manque de rythme lors des deux premières rencontres.
Le travail bien fait face à la Bosnie, il s’agit désormais de confirmer ce mercredi (17h) face à une équipe d’Azerbaïdjan déjà éliminée du tournoi, dont elle dispute son dernier match aujourd’hui, puisqu’elle a perdu ses quatre matchs 3-0. Pour la France, les données sont simples : une victoire 3-0 ou 3-1 leur assurerait mathématiquement une place en huitièmes de finale avant leur dernier match jeudi contre les Belges, ce qui serait déjà une très belle performance vu le niveau de la poule A.
Les partenaires de la pointue Lucile Gicquel sauront-elles, comme face à la Bosnie, oublier ce contexte pour ne se concentrer que sur le jeu, comme le leur demande leur staff ? "On ne peut pas vivre les yeux fermés par rapport à la réalité, on connaît forcément le classement de la poule, on sait que s’il y a une victoire, ça sera sans doute un ticket pour la qualification, sachant que l’objectif qu’on s’était fixé était de sortir de cette poule compliquée. On voit que notre équipe évolue, on veut valider ça par quelque chose de concret. Maintenant, ça ne doit pas être notre pensée première, on doit avant tout être focus sur le jeu qu’on a à produire", répond Félix André.
Qui attend de ses joueuses face à une équipe azérie qu’elles avaient battue 3-1 puis 3-0 fin mai-début juin lors de la Golden League européenne – renforcée depuis par la pointue Margarita Stepanenko et la centrale Olena Kharchenko – la même qualité de service et la même solidarité défensive que contre la Bosnie. "L’Azerbaïdjan est une équipe qui a une certaine densité physique, avec de la taille et des attaquantes qui peuvent vite prendre feu quand elles sont en confiance, elle peut nous embêter, à nous de jouer notre jeu", conclut l’adjoint d’Emile Rousseaux.