HOME
| Actualités FFvolley | ||
| Voir tout | ||
27/05/2021
EuroVolley 2021 : Les Bleus joueront en Estonie
L’équipe de France est fixée sur son sort pour la phase de poules de l’EuroVolley 2021 : les Bleus joueront à Tallinn, capitale de l’Estonie, dans une poule D qui semble abordable avec le pays-hôte, la Lettonie, l’Allemagne, la Slovaquie et la Croatie.
De leur bulle sanitaire de Rimini, où ils disputent à partir de vendredi matin l’intégralité de la phase de poule de la Volleyball Nations League, les joueurs de l’équipe de France ont sans doute suivi avec attention le programme qui leur sera réservé lors de la troisième grande compétition de leur saison internationale (après la VNL et les Jeux Olympiques de Tokyo), l’EuroVolley 2021.
Et ils ont sans doute esquissé un petit rictus de soulagement au regard de ce tirage qui leur a fait éviter quelques gros adversaires potentiels (Pologne, Russie, Italie, Belgique, Bulgarie…) et les emmènera à Tallinn, capitale de l’Estonie, l’un des quatre pays-hôtes de ce Championnat d’Europe qui, comme il y a deux ans, réunira 24 nations. L’équipe de France est tombée dans une poule D qui, a priori, semble dans ses cordes (les quatre premiers de chaque poule se qualifient pour les huitièmes de finale).
Ses cinq adversaires seront ainsi : l’Estonie (16e nation européenne), que la France n’a affrontée que deux fois dans son histoire, en 1995 et lors de la phase de poules de son Euro 2015 victorieux à Turin (deux victoires 3-1) ; le voisin balte qu’est la Lettonie (23e), rencontrée à six reprises (cinq succès, une défaite), la dernière en septembre 2012 pour les débuts de Laurent Tillie sur le banc lors d’un Tournoi de qualification au Championnat d’Europe ; l’Allemagne (9e), sur le papier l’adversaire le plus coriace des Bleus, qu’ils jouent d’ailleurs samedi en VNL, et contre laquelle ils n’ont plus perdu depuis le match pour la troisième place du Mondial 2014 (0-3), leur dernier succès, remontant au 10 janvier 2020 lors du Tournoi de qualification olympique de Berlin, les avait propulsés à Tokyo ; la Slovaquie (17e), que la France a toujours battue en huit confrontations, la dernière lors de l’Euro 2013 en Pologne ; et la Croatie (27e), contre laquelle elle a gagné cinq fois en six matchs, la dernière dans sa poule du premier tour de l’Euro 2015 à Turin.
La phase de poules de cet EuroVolley 2021, qui sera la première compétition officielle sur le banc tricolore de Bernardinho, successeur de Laurent Tillie après les Jeux Olympiques, se déroulera du 1er au 9 septembre à Tallinn, les huitièmes et quarts de finale auront ensuite lieu du 11 au 15 septembre à Gdansk (Pologne) et Ostrava (République tchèque), avant une fin de tournoi toujours en Pologne, mais cette fois à Katowice (18-19 septembre).
La réaction de Benjamin Toniutti, passeur et capitaine de l'équipe de France : "Ça sera la première fois que je jouerai en Estonie, mais j'ai déjà vu des matchs là-bas, la salle sera pleine, les supporters sont chauds. La Lettonie, je ne connais pas trop, je sais que le pointu qui était à Tours est letton (Hermans Egleskalns), on joue souvent des nations un peu plus petites sur le Championnat d'Europe, comme on l'avait fait à Montpellier en 2019. L'Allemagne, c'est une équipe qui va se battre pour les médailles, même si Grözer ne sera pas là, ils ont des joueurs de qualité, ce sera sur le papier l'équipe la plus forte de la poule avec nous. La Slovaquie et la Croatie sont deux équipes qui ont toujours deux ou trois joueurs décisifs, dont il faudra se méfier, elles n'ont pas toujours la chance de jouer des grosses compétitions comme les championnats du monde, elles sortent des qualifications, elles seront donc contentes d'être là et arriveront avec l'envie de bousculer des équipes comme nous."
Et ils ont sans doute esquissé un petit rictus de soulagement au regard de ce tirage qui leur a fait éviter quelques gros adversaires potentiels (Pologne, Russie, Italie, Belgique, Bulgarie…) et les emmènera à Tallinn, capitale de l’Estonie, l’un des quatre pays-hôtes de ce Championnat d’Europe qui, comme il y a deux ans, réunira 24 nations. L’équipe de France est tombée dans une poule D qui, a priori, semble dans ses cordes (les quatre premiers de chaque poule se qualifient pour les huitièmes de finale).
Ses cinq adversaires seront ainsi : l’Estonie (16e nation européenne), que la France n’a affrontée que deux fois dans son histoire, en 1995 et lors de la phase de poules de son Euro 2015 victorieux à Turin (deux victoires 3-1) ; le voisin balte qu’est la Lettonie (23e), rencontrée à six reprises (cinq succès, une défaite), la dernière en septembre 2012 pour les débuts de Laurent Tillie sur le banc lors d’un Tournoi de qualification au Championnat d’Europe ; l’Allemagne (9e), sur le papier l’adversaire le plus coriace des Bleus, qu’ils jouent d’ailleurs samedi en VNL, et contre laquelle ils n’ont plus perdu depuis le match pour la troisième place du Mondial 2014 (0-3), leur dernier succès, remontant au 10 janvier 2020 lors du Tournoi de qualification olympique de Berlin, les avait propulsés à Tokyo ; la Slovaquie (17e), que la France a toujours battue en huit confrontations, la dernière lors de l’Euro 2013 en Pologne ; et la Croatie (27e), contre laquelle elle a gagné cinq fois en six matchs, la dernière dans sa poule du premier tour de l’Euro 2015 à Turin.
La phase de poules de cet EuroVolley 2021, qui sera la première compétition officielle sur le banc tricolore de Bernardinho, successeur de Laurent Tillie après les Jeux Olympiques, se déroulera du 1er au 9 septembre à Tallinn, les huitièmes et quarts de finale auront ensuite lieu du 11 au 15 septembre à Gdansk (Pologne) et Ostrava (République tchèque), avant une fin de tournoi toujours en Pologne, mais cette fois à Katowice (18-19 septembre).
La réaction de Benjamin Toniutti, passeur et capitaine de l'équipe de France : "Ça sera la première fois que je jouerai en Estonie, mais j'ai déjà vu des matchs là-bas, la salle sera pleine, les supporters sont chauds. La Lettonie, je ne connais pas trop, je sais que le pointu qui était à Tours est letton (Hermans Egleskalns), on joue souvent des nations un peu plus petites sur le Championnat d'Europe, comme on l'avait fait à Montpellier en 2019. L'Allemagne, c'est une équipe qui va se battre pour les médailles, même si Grözer ne sera pas là, ils ont des joueurs de qualité, ce sera sur le papier l'équipe la plus forte de la poule avec nous. La Slovaquie et la Croatie sont deux équipes qui ont toujours deux ou trois joueurs décisifs, dont il faudra se méfier, elles n'ont pas toujours la chance de jouer des grosses compétitions comme les championnats du monde, elles sortent des qualifications, elles seront donc contentes d'être là et arriveront avec l'envie de bousculer des équipes comme nous."
.png){kind=small}
.jpg)
