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13/05/2021
TQCE : La qualification d’abord !
Après une phase aller à Belfort au cours de laquelle elle a gagné deux matchs 3-0 (Danemark et Israël) pour une courte défaite contre la Hongrie (3-2), l’équipe de France s’est justement envolée jeudi pour la Hongrie où, de vendredi à dimanche, elle retrouve les mêmes adversaires pour le Tournoi retour de qualification au Championnat d’Europe 2021. La priorité pour les Bleues : d’abord assurer la qualification.
A mi-chemin de ce Tournoi de qualification au Championnat d’Europe 2021 (qui aura lieu du 18 août au 4 septembre en Serbie, Croatie, Roumanie et Bulgarie), l’équipe de France est en ballotage favorable, deuxième de la poule E (les deux premiers se qualifient) avec 2 victoires et 7 points, derrière la Hongrie (3 victoires, 8 points), mais devant Israël (1 victoire, 3 points) et le Danemark (aucune victoire et zéro point).
Elle s’est envolée jeudi pour Budapest pour la phase retour qui la verra successivement affronter le Danemark (vendredi, 16h), Israël (samedi, 16h) puis la Hongrie (dimanche, 16h), avec un premier objectif, assurer la qualification le plus vite possible. Ce qui pourrait être fait dès vendredi, à une double condition : que les Bleues battent les Danoises avec 3 points à la clé (3-0 ou 3-1) et que juste après, la Hongrie en fasse de même avec Israël.
Un scénario qui serait idéal, car il permettrait d’ores et déjà à Emile Rousseaux, qui n’a disposé de son groupe au complet que quatre jours avant le TQCE, d’attaquer lors des deux matchs suivants la préparation de la suite de la saison. "L’objectif est d’abord de valider notre qualification, peu importe la place. Et si on réussit à le faire après un ou deux matchs, on essaiera ensuite de se mettre dans un autre état d’esprit et d’engager un collectif bien plus qu’une équipe", expliquait-il ainsi dimanche dernier à l’issue de la victoire de ses joueuses face à Israël.
Dans l’urgence, le technicien belge a en effet misé pour l’instant sur son six de base (Nina Stojiljkovic, Juliette Fidon Lebleu, Héléna Cazaute, Lucille Gicquel, Amandha Sylves, Isaline Sager-Weider, avec Amandine Giardino libéro), mais en vue des échéances futures, European Golden League (28 mai-20 juin) et EuroVolley si la France se qualifie, il souhaite pouvoir s’appuyer sur tout son groupe, et notamment voir en compétition les dernières venues, qui étaient encore cette saison en formation du côté de l’IFVB de Toulouse, la jeune passeuse Emilie Respaut et l’attaquante Leia Ratahiry.
Ce TQCE retour peut donc être l’occasion de donner davantage de temps de jeu à celles qui n’en ont pas eu à Belfort, mais les Bleues auront surtout à cœur de gagner leurs trois matchs, elles qui ont encore en travers de la gorge leur défaite face à la Hongrie, alors qu’elles avaient le match en main dans le tie-break : "Même s’il y a eu du positif dans la mesure où on a eu très peu d’entraînements avant ce TQCE, on a été un peu de déçues de perdre ce match, on prendra notre revanche en Hongrie. On y va avec l’idée de tout gagner, je pense qu’on en a les capacités, même s’il ne faut pas sous-estimer le Danemark et Israël, qui peuvent nous accrocher", résume ainsi Héléna Cazaute.
Elle s’est envolée jeudi pour Budapest pour la phase retour qui la verra successivement affronter le Danemark (vendredi, 16h), Israël (samedi, 16h) puis la Hongrie (dimanche, 16h), avec un premier objectif, assurer la qualification le plus vite possible. Ce qui pourrait être fait dès vendredi, à une double condition : que les Bleues battent les Danoises avec 3 points à la clé (3-0 ou 3-1) et que juste après, la Hongrie en fasse de même avec Israël.
Un scénario qui serait idéal, car il permettrait d’ores et déjà à Emile Rousseaux, qui n’a disposé de son groupe au complet que quatre jours avant le TQCE, d’attaquer lors des deux matchs suivants la préparation de la suite de la saison. "L’objectif est d’abord de valider notre qualification, peu importe la place. Et si on réussit à le faire après un ou deux matchs, on essaiera ensuite de se mettre dans un autre état d’esprit et d’engager un collectif bien plus qu’une équipe", expliquait-il ainsi dimanche dernier à l’issue de la victoire de ses joueuses face à Israël.
Dans l’urgence, le technicien belge a en effet misé pour l’instant sur son six de base (Nina Stojiljkovic, Juliette Fidon Lebleu, Héléna Cazaute, Lucille Gicquel, Amandha Sylves, Isaline Sager-Weider, avec Amandine Giardino libéro), mais en vue des échéances futures, European Golden League (28 mai-20 juin) et EuroVolley si la France se qualifie, il souhaite pouvoir s’appuyer sur tout son groupe, et notamment voir en compétition les dernières venues, qui étaient encore cette saison en formation du côté de l’IFVB de Toulouse, la jeune passeuse Emilie Respaut et l’attaquante Leia Ratahiry.
Ce TQCE retour peut donc être l’occasion de donner davantage de temps de jeu à celles qui n’en ont pas eu à Belfort, mais les Bleues auront surtout à cœur de gagner leurs trois matchs, elles qui ont encore en travers de la gorge leur défaite face à la Hongrie, alors qu’elles avaient le match en main dans le tie-break : "Même s’il y a eu du positif dans la mesure où on a eu très peu d’entraînements avant ce TQCE, on a été un peu de déçues de perdre ce match, on prendra notre revanche en Hongrie. On y va avec l’idée de tout gagner, je pense qu’on en a les capacités, même s’il ne faut pas sous-estimer le Danemark et Israël, qui peuvent nous accrocher", résume ainsi Héléna Cazaute.