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"Lorsque nous avions candidaté, nous imaginions ouvrir le Palais des Sports aux supporters, même dans une jauge restreinte, ce ne sera malheureusement pas possible. Nous allons donc essayer de mettre en place, avec la Fédération Française de Volley, et nos partenaires, la ville de Mulhouse et l’Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération, la meilleure expérience digitale possible pour que ce Final Four reste une belle fête et qu’un maximum de monde puisse y participer à distance."
Le président du club alsacien ajoute : "On a l’habitude d’organiser des événements dans un environnement classique, il va falloir faire preuve d’inventivité pour mettre sur pied un Final Four sans public, on peut aussi s’appuyer sur l’expérience des clubs de Tours et de Nantes, qui ont accueilli une phase de groupes de la Ligue des champions (masculine pour le TVB, féminine pour le VBN) cette saison dans ce format de bulle sanitaire."
Il y a deux ans, si l’organisation avait été particulièrement réussie, Mulhouse avait échoué dans sa quête de première Coupe, battu en demi-finale par Nantes, cette fois-ci, le club alsacien espère bien aller au bout d’une compétition qui lui a échappé maintes fois de peu (quatre finales perdues, à chaque fois contre Cannes, la dernière en 2012). "On a clairement envie de prendre notre revanche et de décrocher la Coupe pour la première fois", confirme Daniel Braun.
Il faudra pour cela d'abord sortir indemne du choc des demi-finales qui s'annonce très serré face à Béziers, la seconde demi-finale promettant d'être tout aussi indécise entre Mougins et le vainqueur du quart entre le Stade Français Paris-Saint-Cloud et Istres (qui se jouera le 13 avril).