HOME
Actualités FFvolley | ||
Voir tout |
13/09/2019
Grèce-France : Les Bleus sur leur lancée ?
Au surlendemain de leur bonne entame d’EuroVolley 2019 contre la Roumanie (3-0), les joueurs de l’équipe de France retrouvent samedi la Sud de France Arena de Montpellier pour y affronter la Grèce, parvenue vendredi à prendre un set à l’Italie. Pour les Bleus, il s’agira de faire preuve du même sérieux et de continuer à faire plaisir à leur public.
La Sud de France Arena accueille samedi son troisième jour de compétition dans la poule A, avec en ouverture, à 17h15, un Grèce-France qui, espérons-le, s’annoncera aussi animé au niveau de l'ambiance que le premier match des Bleus face à la Roumanie jeudi. En s’imposant 3-0 avec la manière et une grosse détermination de se battre sur tous les ballons, les joueurs de Laurent Tillie ont réussi à évacuer la pression du premier match de compétition et surtout à séduire un public montpelliérain qui n’attendait que ça. Les Bleus n’ont pas boudé leur plaisir à l’issue de la rencontre, Benjamin Toniutti souhaitant ouvertement que l’ambiance aille "crescendo" au fur et à mesure des sorties d'une équipe de France, qui, après la Grèce ce samedi, affrontera le Portugal dimanche, la Bulgarie lundi, et l’Italie, troisième nation au classement mondial, mercredi.
Le programme immédiat est donc la Grèce de l’ancien joueur d’Ajaccio, le central Georgios Petreas, qui, s’est logiquement inclinée jeudi et vendredi lors de ses deux premiers matchs contre la Bulgarie puis contre l’Italie, mais est parvenue à prendre le premier set à la Nazionale et à l'inquiéter dans le second. Finaliste de la dernière Silver European League (battue par la Roumanie), 20e au classement européen, la formation dirigée par Dimitri Andreopoulos ne part clairement pas favorite face à la France, 3e nation continentale, mais Laurent Tillie ne la prend pas à la légère, comme il l’a confié jeudi soir, sitôt le succès face aux Roumains consommé. : "Ça va être un peu le même genre d’opposition que la Roumanie, avec cependant un pointu (le joueur de l’Olympiakos Nikos Zoupani) plus performant qui joue très vite, c’est aussi une équipe un peu plus stable aux ailes."
Face à cet adversaire d’un niveau légèrement supérieur à la Roumanie, les Bleus devront donc hausser le leur et surtout rester concentrés et sereins, y compris dans les moments plus délicats, ce qu’ils ont su faire jeudi : "Il ne faut surtout pas déjouer contre ce genre d’équipe, parce que parfois, quand on prend une feinte, deux feintes, des ballons qui tombent, on s’énerve et on perd le fil du match, c’est ça le piège", ajoute Laurent Tillie. Les joueurs de l’équipe de France sont prévenus, à eux de faire le nécessaire pour ne pas tomber dans ce piège et se rendre le match facile, l’aide du public ne sera pas de trop…
Le programme immédiat est donc la Grèce de l’ancien joueur d’Ajaccio, le central Georgios Petreas, qui, s’est logiquement inclinée jeudi et vendredi lors de ses deux premiers matchs contre la Bulgarie puis contre l’Italie, mais est parvenue à prendre le premier set à la Nazionale et à l'inquiéter dans le second. Finaliste de la dernière Silver European League (battue par la Roumanie), 20e au classement européen, la formation dirigée par Dimitri Andreopoulos ne part clairement pas favorite face à la France, 3e nation continentale, mais Laurent Tillie ne la prend pas à la légère, comme il l’a confié jeudi soir, sitôt le succès face aux Roumains consommé. : "Ça va être un peu le même genre d’opposition que la Roumanie, avec cependant un pointu (le joueur de l’Olympiakos Nikos Zoupani) plus performant qui joue très vite, c’est aussi une équipe un peu plus stable aux ailes."
Face à cet adversaire d’un niveau légèrement supérieur à la Roumanie, les Bleus devront donc hausser le leur et surtout rester concentrés et sereins, y compris dans les moments plus délicats, ce qu’ils ont su faire jeudi : "Il ne faut surtout pas déjouer contre ce genre d’équipe, parce que parfois, quand on prend une feinte, deux feintes, des ballons qui tombent, on s’énerve et on perd le fil du match, c’est ça le piège", ajoute Laurent Tillie. Les joueurs de l’équipe de France sont prévenus, à eux de faire le nécessaire pour ne pas tomber dans ce piège et se rendre le match facile, l’aide du public ne sera pas de trop…
|