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06/06/2019
VNL : Les Bleus face au défi polonais
Après un premier week-end ponctué de trois victoires, l’équipe de France poursuit la phase de poules de la Volleyball Nations League de vendredi à dimanche à Ningbo, avec un premier match vendredi face à la Pologne double championne du monde. Une formation qu’elle retrouvera en août à Gdansk dans le cadre du tournoi de qualification olympique.
A peine le temps de savourer leur entame de Volleyball Nations League réussie à Novi Sad (trois victoires 3-1 face à la Russie, à la Serbie et au Japon), les joueurs de l’équipe de France ont mis le cap lundi vers la Chine et plus précisément vers Ningbo, ville de 8 millions d’habitants située à 200 km au sud de Shanghai, où les attendent trois nouveaux matchs de VNL de vendredi à dimanche, contre la Pologne, la Chine et la Bulgarie.
Deux d’entre eux revêtiront un caractère particulier, face aux Polonais doubles champions du monde et à la Bulgarie dirigée par Silvano Prandi, dans la mesure où les hommes de Laurent Tillie retrouveront ces deux équipes lors des deux rendez-vous prioritaires de leur saison internationale. A savoir le Tournoi de qualification olympique de Gdansk (9-11 août) en ce qui concerne la Pologne, qui accueillera ce mini-championnat à quatre (avec également la Slovénie et la Tunisie, seul le premier se qualifie directement pour les JO), et l’EuroVolley (12-29 septembre) pour la Bulgarie, qui sera dans la poule de l’équipe de France à Montpellier.
Place donc vendredi (10h, heure française) à la Pologne, un adversaire que les Bleus avaient affronté deux fois la saison dernière en compétition officielle, avec à la clé une défaite (phase de poules de la VNL) et une victoire au deuxième tour du Championnat du monde à Varna, sans conséquence pour les Polonais, puisqu’ils remporteront par la suite le titre mondial pour la deuxième fois consécutive. Ce vendredi, l’équipe toujours dirigée par le Belge Vital Heynen (passé notamment par Tours) présentera un visage bien différent de celui de septembre 2018, puisque ce dernier, qui n'a pas sélectionné le désormais ex-Cubain Wilfredo Leon pour cette VNL, a laissé au repos quelques cadres (Kurek, Kubiak, Szalpuk, Sliwka…), certains ayant joué un rôle décisif le week-end dernier lors de la première poule de VNL disputée à Katowice, avec à la clé deux succès (3-1 contre l’Australie, 3-2 face aux Etats-Unis) pour une défaite (3-1 contre le Brésil).
De leur côté, les Bleus se présenteront avec un groupe proche de celui qui a brillé à Novi Sad, Laurent Tillie ayant juste procédé à deux changements, le pointu Stephen Boyer, de retour d’une blessure à un doigt, et le libero Nicolas Rossard ayant remplacé numériquement les réceptionneurs-attaquants Trévor Clevenot et Thibault Rossard, mis au repos. Des Bleus qui voudront assurément surfer sur leur bonne dynamique, eux qui occupent au terme du premier des cinq week-ends de poule la deuxième place provisoire de la Volleyball Nations League, avant de rentrer à la maison le week-end suivant, plus précisément à Cannes, où ils accueilleront l’Allemagne, l’Argentine et les Etats-Unis du 14 au 16 juin.
Deux d’entre eux revêtiront un caractère particulier, face aux Polonais doubles champions du monde et à la Bulgarie dirigée par Silvano Prandi, dans la mesure où les hommes de Laurent Tillie retrouveront ces deux équipes lors des deux rendez-vous prioritaires de leur saison internationale. A savoir le Tournoi de qualification olympique de Gdansk (9-11 août) en ce qui concerne la Pologne, qui accueillera ce mini-championnat à quatre (avec également la Slovénie et la Tunisie, seul le premier se qualifie directement pour les JO), et l’EuroVolley (12-29 septembre) pour la Bulgarie, qui sera dans la poule de l’équipe de France à Montpellier.
Place donc vendredi (10h, heure française) à la Pologne, un adversaire que les Bleus avaient affronté deux fois la saison dernière en compétition officielle, avec à la clé une défaite (phase de poules de la VNL) et une victoire au deuxième tour du Championnat du monde à Varna, sans conséquence pour les Polonais, puisqu’ils remporteront par la suite le titre mondial pour la deuxième fois consécutive. Ce vendredi, l’équipe toujours dirigée par le Belge Vital Heynen (passé notamment par Tours) présentera un visage bien différent de celui de septembre 2018, puisque ce dernier, qui n'a pas sélectionné le désormais ex-Cubain Wilfredo Leon pour cette VNL, a laissé au repos quelques cadres (Kurek, Kubiak, Szalpuk, Sliwka…), certains ayant joué un rôle décisif le week-end dernier lors de la première poule de VNL disputée à Katowice, avec à la clé deux succès (3-1 contre l’Australie, 3-2 face aux Etats-Unis) pour une défaite (3-1 contre le Brésil).
De leur côté, les Bleus se présenteront avec un groupe proche de celui qui a brillé à Novi Sad, Laurent Tillie ayant juste procédé à deux changements, le pointu Stephen Boyer, de retour d’une blessure à un doigt, et le libero Nicolas Rossard ayant remplacé numériquement les réceptionneurs-attaquants Trévor Clevenot et Thibault Rossard, mis au repos. Des Bleus qui voudront assurément surfer sur leur bonne dynamique, eux qui occupent au terme du premier des cinq week-ends de poule la deuxième place provisoire de la Volleyball Nations League, avant de rentrer à la maison le week-end suivant, plus précisément à Cannes, où ils accueilleront l’Allemagne, l’Argentine et les Etats-Unis du 14 au 16 juin.
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