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24/08/2018
TQCE: Les Bleues à une marche de l’Euro
En cas de victoire ce samedi en Géorgie (14h), l’équipe de France féminine décrochera son billet pour l’Euro 2019. Ce serait une première depuis six ans.
Plus qu’une. L’équipe de France féminine a négocié à la perfection son début de parcours dans le tournoi de qualification pour le champion d’Europe, en remportant ses trois premiers matchs, à chaque fois en trois sets s’il vous plait. Mais il reste encore un petit succès à aller chercher pour que les Bleues assurent définitivement leur place au prochain Euro, qui aura lieu l’an prochain (en Hongrie, Slovaquie, Pologne et Turquie). Une compétition à laquelle la France n’a plus participé depuis 2013.
C’est donc avec cet unique objectif en tête qu’Emile Rousseaux, ses joueuses et son staff ont pris la direction de Tbilissi, en Géorgie, pour un voyage de plus de 15 heures depuis leur camp de base de Belfort. "C’était long, ce n’est pas une destination facile à atteindre, confirme l’entraîneur adjoint des Bleues, Félix André. On est arrivé à 3h30 du matin heure locale (dans la nuit de jeudi à vendredi, ndlr), donc on n’était pas dans les chambres avant 5h. Ça fait partie du jeu et de ce format de compétition, qui nous amène parfois à visiter des pays lointains."
Sur la lancée du match aller
Les Bleues voyagent donc dans des contrées éloignées, mais en terrain connu sur le plan volley. Elles retrouvent en effet une équipe de Géorgie battue mercredi soir au Phare de Belfort, mais qui avait vendu chèrement sa peau malgré la défaite en trois sets (25-21, 25-22, 25-13). "Je vais demander du respect pour cette équipe de Géorgie, confiait ainsi Emile Rousseaux après le succès de son équipe. Il y a deux ou trois joueuses qui valent vraiment la peine. A côté, c’est plus faible, c’est sûr. Mais la n°13 (Ann Kalandadze, 19 ans), par exemple, est une joueuse qui vaut vraiment la peine."
L’avantage, c’est que, même si le délai est très court entre les deux rencontres, si l’on tient compte du long déplacement, les Bleues connaissent maintenant cette équipe de Géorgie, ce qui permet de gagner du temps au niveau de la préparation du match. "On aura bien le match aller en tête, on sait très bien ce qu’il s’est passé. Je pense que le match sera encore bien préparé", confirme ainsi la capitaine Juliette Fidon.
"On fait quelques réajustements, explique Félix André. On bosse beaucoup sur la dernière vidéo pour voir ce qu’ils ont entrepris, ce que nous on a entrepris et qui a marché. On va essayer d’appuyer sur ce qu’on voulait faire lors du premier match, et qui n’a pas marché, ou en tout cas pas autant qu’on le souhaitait." Si jamais cela devait mal se passer samedi en Géorgie (14h, heure française), les Bleues auront deux autres matchs en janvier, face au Portugal et au Danemark, pour éventuellement valider leur qualification pour cet Euro 2019.
C’est donc avec cet unique objectif en tête qu’Emile Rousseaux, ses joueuses et son staff ont pris la direction de Tbilissi, en Géorgie, pour un voyage de plus de 15 heures depuis leur camp de base de Belfort. "C’était long, ce n’est pas une destination facile à atteindre, confirme l’entraîneur adjoint des Bleues, Félix André. On est arrivé à 3h30 du matin heure locale (dans la nuit de jeudi à vendredi, ndlr), donc on n’était pas dans les chambres avant 5h. Ça fait partie du jeu et de ce format de compétition, qui nous amène parfois à visiter des pays lointains."
Sur la lancée du match aller
Les Bleues voyagent donc dans des contrées éloignées, mais en terrain connu sur le plan volley. Elles retrouvent en effet une équipe de Géorgie battue mercredi soir au Phare de Belfort, mais qui avait vendu chèrement sa peau malgré la défaite en trois sets (25-21, 25-22, 25-13). "Je vais demander du respect pour cette équipe de Géorgie, confiait ainsi Emile Rousseaux après le succès de son équipe. Il y a deux ou trois joueuses qui valent vraiment la peine. A côté, c’est plus faible, c’est sûr. Mais la n°13 (Ann Kalandadze, 19 ans), par exemple, est une joueuse qui vaut vraiment la peine."
L’avantage, c’est que, même si le délai est très court entre les deux rencontres, si l’on tient compte du long déplacement, les Bleues connaissent maintenant cette équipe de Géorgie, ce qui permet de gagner du temps au niveau de la préparation du match. "On aura bien le match aller en tête, on sait très bien ce qu’il s’est passé. Je pense que le match sera encore bien préparé", confirme ainsi la capitaine Juliette Fidon.
"On fait quelques réajustements, explique Félix André. On bosse beaucoup sur la dernière vidéo pour voir ce qu’ils ont entrepris, ce que nous on a entrepris et qui a marché. On va essayer d’appuyer sur ce qu’on voulait faire lors du premier match, et qui n’a pas marché, ou en tout cas pas autant qu’on le souhaitait." Si jamais cela devait mal se passer samedi en Géorgie (14h, heure française), les Bleues auront deux autres matchs en janvier, face au Portugal et au Danemark, pour éventuellement valider leur qualification pour cet Euro 2019.