HOME
| Actualités FFvolley | ||
| Voir tout | ||
25/05/2017
Les jeunes dans le grand bain
Faciles vainqueurs de l’Islande mercredi à Lyon (3-0), les Bleus ont idéalement lancé leur Tournoi de qualification au championnat du monde. D’autant plus que Laurent Tillie a pu faire jouer tous ses joueurs, y compris, les plus jeunes qui, pour la plupart, disputaient leur premier match en compétition officielle.
Vite rentrés à leur hôtel à l’issue de leur victoire contre l’Islande mercredi (25-8, 25-8, 25-14), les joueurs de l’équipe de France ont tout de même pris le temps de commenter ce succès expéditif contre une équipe d’Islande évoluant quelques étages en-dessous. "C’est difficile de tirer des enseignements d’un tel match. C’était compliqué parce qu’il n’y avait pas de rythme, on a eu l’impression que c’était un peu long, il fallait rester concentré jusqu’au bout pour ne pas faire n’importe quoi, c’est ce qu’on a réussi", analysera avec lucidité le passeur Antoine Brizard, qui, en rentrant au deuxième set à la place du capitaine Benjamin Toniutti, a honoré sa première sélection en compétition officielle, à l’instar des autres jeunes de cette « nouvelle » équipe de France, Barthélémy Chinenyeze (8 points), Daryl Bultor (5) et Stephen Boyer (14).
Des jeunes pour lesquels cette rencontre facile était le moment idéal pour véritablement se lancer dans le grand bain international, d’où le choix de Laurent Tillie de les faire entrer en jeu dès le début de la deuxième manche. "Regardez, j’avais déjà prévu les rotations, confirme-t-il en nous montrant son plan de jeu. J’ai apprécié, parce qu’ils ont gagné le challenge de faire le même score dans le deuxième set que la première équipe, c’était très bien." Et effectivement, même si le niveau de l’adversaire incite à relativiser, la rotation effectuée par le sélectionneur n’a nullement affecté la marche en avant des Bleus, symbolisée par l’entrée tonitruante d’un Stephen Boyer, auteur de 5 des 8 premiers points tricolores du deuxième set, la puissance du joueur de Chaumont étant accompagnée de murmures admiratifs du public du Palais des Sports de Gerland.
Et pourtant, l’intéressé avouera avoir ressenti une légère appréhension au moment de débuter : "Arriver en équipe de France, c’est grandiose, on a toujours la petite pression au début, mais après les premiers points, on a vu que ça déroulait, c’est plus facile de débuter contre une équipe comme ça, c’est bien pour la confiance." Le scénario était idéal et il n’a fait que confirmer à Laurent Tillie que ces jeunes-là, en plus d’être très talentueux, ont su se fondre de manière express dans un groupe qui les a particulièrement bien accueillis : "Ce qui est sympa, c’est de voir les potentiels de ces jeunes, mais aussi l’admiration des plus anciens pour eux. Après on sait qu’il faudra confirmer et peaufiner, mais c’est sympa de voir une aussi belle intégration." A confirmer jeudi soir contre l’Ukraine, match au cours duquel, vu le niveau supérieur de l’adversaire, il y aura cependant sans doute moins de rotation…
Des jeunes pour lesquels cette rencontre facile était le moment idéal pour véritablement se lancer dans le grand bain international, d’où le choix de Laurent Tillie de les faire entrer en jeu dès le début de la deuxième manche. "Regardez, j’avais déjà prévu les rotations, confirme-t-il en nous montrant son plan de jeu. J’ai apprécié, parce qu’ils ont gagné le challenge de faire le même score dans le deuxième set que la première équipe, c’était très bien." Et effectivement, même si le niveau de l’adversaire incite à relativiser, la rotation effectuée par le sélectionneur n’a nullement affecté la marche en avant des Bleus, symbolisée par l’entrée tonitruante d’un Stephen Boyer, auteur de 5 des 8 premiers points tricolores du deuxième set, la puissance du joueur de Chaumont étant accompagnée de murmures admiratifs du public du Palais des Sports de Gerland.
Et pourtant, l’intéressé avouera avoir ressenti une légère appréhension au moment de débuter : "Arriver en équipe de France, c’est grandiose, on a toujours la petite pression au début, mais après les premiers points, on a vu que ça déroulait, c’est plus facile de débuter contre une équipe comme ça, c’est bien pour la confiance." Le scénario était idéal et il n’a fait que confirmer à Laurent Tillie que ces jeunes-là, en plus d’être très talentueux, ont su se fondre de manière express dans un groupe qui les a particulièrement bien accueillis : "Ce qui est sympa, c’est de voir les potentiels de ces jeunes, mais aussi l’admiration des plus anciens pour eux. Après on sait qu’il faudra confirmer et peaufiner, mais c’est sympa de voir une aussi belle intégration." A confirmer jeudi soir contre l’Ukraine, match au cours duquel, vu le niveau supérieur de l’adversaire, il y aura cependant sans doute moins de rotation…
.png){kind=small}
.jpg)
