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17/06/2017
La belle réaction des Bleus !
Battus pour la première fois de la saison, vendredi, par l’Italie (3-2), les joueurs de Laurent Tillie ont parfaitement relevé la tête pour surclasser le Canada (25-16, 25-15, 25-21), samedi à Anvers, en Ligue Mondiale.
Elle a de l’orgueil, cette équipe de France ! Au lendemain de leur courte défaite face à l’Italie (16-14 au tie-break), leur tout premier revers de la saison (après 12 victoires), les Bleus ont réagi de la meilleure des manières pour livrer une très belle prestation face au Canada (3-0), en Ligue Mondiale. On le rappelle, les Tricolores, grâce à leur excellent début de compétition, sont déjà qualifiés pour le Final Six au Brésil. Ils jouent donc pratiquement pour du beurre ce week-end à Anvers (Belgique), ce qui ne les empêche pas de mettre un point d’honneur à bien figurer.
Sans Ngapeth, Le Roux, Le Goff et Toniutti, blessés ou ménagés, les hommes de Laurent Tillie ont donc dominé ceux de Stéphane Antiga, avec la manière (25-16, 25-15, 25-21). Avec Antoine Brizard à la baguette, l’infatigable Jenia Grebennikov en libéro, une toute jeune paire de centraux (Bultor, Chinenyeze), et un trio d’attaquants inspirés (Clevenot, Lyneel, Boyer).
Boyer en mode rouleau-compresseur
C’est d’ailleurs Trevor Clevenot (10 points), peu utilisé vendredi, qui a été le premier à se mettre en évidence côté tricolore (8-7). En face, il fallait surtout contrôler la pépite Sharone Vernon-Evans (18 ans), mais la défense française s’en est plutôt très bien sorti en le limitant à 8 points à 7/17 en attaque. Et le public d’Anvers s’est très vite aperçu que Stephen Boyer, le pointu tricolore, était dans un grand soir. Grâce à une grosse série au service du joueur de Chaumont, les Bleus se sont détachés après la moitié du premier set pour rapidement virer en tête dans ce match (25-16).
Le scénario s’est répété dans le deuxième acte (25-15), avec Julien Lyneel (9 points) en deuxième option offensive, et surtout un Boyer en mode rouleau-compresseur. Le n°12 des Bleus va terminer cette rencontre avec 25 points en seulement trois sets, à 24/35 en attaque (68% de réussite). Juste énorme. Le troisième set, un tout petit peu moins abouti, n’empêchera pas les Français de porter leur bilan à 22 points pris sur 24 possibles, ce qui pourrait suffire pour décrocher la première place de la Division 1. Quoi qu’il en soit, les Bleus vont tenter de finir en beauté, dimanche, contre la Belgique.
Sans Ngapeth, Le Roux, Le Goff et Toniutti, blessés ou ménagés, les hommes de Laurent Tillie ont donc dominé ceux de Stéphane Antiga, avec la manière (25-16, 25-15, 25-21). Avec Antoine Brizard à la baguette, l’infatigable Jenia Grebennikov en libéro, une toute jeune paire de centraux (Bultor, Chinenyeze), et un trio d’attaquants inspirés (Clevenot, Lyneel, Boyer).
Boyer en mode rouleau-compresseur
C’est d’ailleurs Trevor Clevenot (10 points), peu utilisé vendredi, qui a été le premier à se mettre en évidence côté tricolore (8-7). En face, il fallait surtout contrôler la pépite Sharone Vernon-Evans (18 ans), mais la défense française s’en est plutôt très bien sorti en le limitant à 8 points à 7/17 en attaque. Et le public d’Anvers s’est très vite aperçu que Stephen Boyer, le pointu tricolore, était dans un grand soir. Grâce à une grosse série au service du joueur de Chaumont, les Bleus se sont détachés après la moitié du premier set pour rapidement virer en tête dans ce match (25-16).
Le scénario s’est répété dans le deuxième acte (25-15), avec Julien Lyneel (9 points) en deuxième option offensive, et surtout un Boyer en mode rouleau-compresseur. Le n°12 des Bleus va terminer cette rencontre avec 25 points en seulement trois sets, à 24/35 en attaque (68% de réussite). Juste énorme. Le troisième set, un tout petit peu moins abouti, n’empêchera pas les Français de porter leur bilan à 22 points pris sur 24 possibles, ce qui pourrait suffire pour décrocher la première place de la Division 1. Quoi qu’il en soit, les Bleus vont tenter de finir en beauté, dimanche, contre la Belgique.
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