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16/06/2017
Un de chute pour les Bleus
Déjà assurée de sa qualification pour le Final Six, l’équipe de France a concédé sa première défaite de la saison en Ligue Mondiale. C’est seulement au bout du suspense, 16-14 au tie-break, que les Bleus ont fini par céder contre l’Italie (3-2).
Rageant ! On a longtemps cru que l’équipe de France allait poursuivre sa formidable série en Ligue Mondiale. Mais les Bleus, déjà certains d’aller au Brésil disputer le Final Six, et qui peuvent ainsi jouer sans pression, n’ont pas réussi à décrocher leur septième victoire de rang. Libérés, les Tricolores ont longtemps rivalisé avec l’Italie, avant finalement de s’incliner d’extrême justesse, au cinquième set (20-25, 25-21, 24-26, 25-20, 16-14).
Pour cette rencontre, Laurent Tillie avait choisi de ménager une nouvelle fois Earvin Ngapeth (abdominaux), qui a réintégré le groupe mais qui est resté avec les remplaçants. Le sélectionneur, qui en a également profité pour reposer son capitaine Benjamin Toniutti (sorti après le premier set), avait en outre misé sur une paire toute jeune paire de centraux (Chinenyeze, Bultor).
Rossard en leader
Cela n’a pas empêché les Français de débuter très fort (8-3), avant une scène assez surréaliste. Après avoir débuté en bleu, comme leurs adversaires, Toniutti et ses coéquipiers ont dû filer au vestiaire pour enfiler une tunique rouge. Ce drôle d’évènement n’a pas entamé la confiance de cette équipe, visiblement communicative, dans une première manche bien maîtrisée par les Bleus (25-20), dans le sillage d'un excellent Thibault Rossard, co-meilleur de la rencontre (19 points) avec Stephen Boyer.
Avec les entrées d’Antoine Brizard et Guillaume Quesque, l’équipe de France a continué sur sa lancée dans le deuxième set (16-12)… jusqu’au réveil de la Nazionale, revenue à une manche partout (21-25). Dans une LottoArena d’Anvers assez peu remplie, les Bleus n’ont pas lâché, et ils ont raflé une troisième manche pleine de suspense (26-24), grâce à la complicité des "Toulousains" Clevenot, Rossard et Brizard.
Les Bleus ont ensuite éprouvé le besoin de souffler dans le quatrième set, à sens unique (20-25). Cela a failli payer dans le tie-break, où la diversité des attaquants tricolores (Boyer, Rossard, Lyneel, Bultor, Chinenyeze…) a permis aux hommes de Laurent Tillie de virer en tête (8-5). Sans succès, puisque c’est donc l’Italie qui a eu le dernier mot. Après ce revers sans grande conséquence, l’équipe de France affronte le Canada ce samedi, et terminera dimanche face à ses hôtes belges.
Pour cette rencontre, Laurent Tillie avait choisi de ménager une nouvelle fois Earvin Ngapeth (abdominaux), qui a réintégré le groupe mais qui est resté avec les remplaçants. Le sélectionneur, qui en a également profité pour reposer son capitaine Benjamin Toniutti (sorti après le premier set), avait en outre misé sur une paire toute jeune paire de centraux (Chinenyeze, Bultor).
Rossard en leader
Cela n’a pas empêché les Français de débuter très fort (8-3), avant une scène assez surréaliste. Après avoir débuté en bleu, comme leurs adversaires, Toniutti et ses coéquipiers ont dû filer au vestiaire pour enfiler une tunique rouge. Ce drôle d’évènement n’a pas entamé la confiance de cette équipe, visiblement communicative, dans une première manche bien maîtrisée par les Bleus (25-20), dans le sillage d'un excellent Thibault Rossard, co-meilleur de la rencontre (19 points) avec Stephen Boyer.
Avec les entrées d’Antoine Brizard et Guillaume Quesque, l’équipe de France a continué sur sa lancée dans le deuxième set (16-12)… jusqu’au réveil de la Nazionale, revenue à une manche partout (21-25). Dans une LottoArena d’Anvers assez peu remplie, les Bleus n’ont pas lâché, et ils ont raflé une troisième manche pleine de suspense (26-24), grâce à la complicité des "Toulousains" Clevenot, Rossard et Brizard.
Les Bleus ont ensuite éprouvé le besoin de souffler dans le quatrième set, à sens unique (20-25). Cela a failli payer dans le tie-break, où la diversité des attaquants tricolores (Boyer, Rossard, Lyneel, Bultor, Chinenyeze…) a permis aux hommes de Laurent Tillie de virer en tête (8-5). Sans succès, puisque c’est donc l’Italie qui a eu le dernier mot. Après ce revers sans grande conséquence, l’équipe de France affronte le Canada ce samedi, et terminera dimanche face à ses hôtes belges.
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