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15/07/2016
La victoire sinon rien…
Dominée mercredi par la Pologne (2-3), l’équipe de France doit absolument battre la Serbie, déjà qualifiée pour les demi-finales, ce vendredi à Cracovie pour accéder au dernier carré du Final Six de la Ligue Mondiale.
Après une journée de repos bienvenue, l’équipe de France retrouve ce vendredi la Tauron Arena de Cracovie pour son deuxième et dernier match de poule du Final Six. Mercredi pour leurs débuts, les joueurs de Laurent Tillie ont été dominés par la Pologne (2-3) au terme d’un match qui ressemblait, au moins au niveau du scénario renversant, à celui perdu fin mai à Tokyo lors du TQO. Les Bleus avaient su se remobiliser derrière pour enchaîner quatre victoires de suite synonymes de qualification pour les Jeux Olympiques, en sera-t-il de même ce vendredi face à la Serbie ?
Une chose est sûre, les partenaires de Benjamin Toniutti connaissent les données de la rencontre : une défaite quel que soit le score et ils rentreront prématurément en France, une victoire et ils seront qualifiés pour les demi-finales, premiers de la poule J1 s’ils gagnent 3-0 ou 3-1, deuxièmes derrière les Serbes s’ils s’imposent 3-2. Compte tenu du niveau de ce Final Six, peu leur importe finalement la place, du moment qu’ils arrivent à battre cette équipe serbe qui, en dominant jeudi la Pologne chez elle (25-23, 25-20, 18-25, 25-18), a confirmé son excellent parcours lors de la phase de poules de cette Ligue Mondiale, elle qui dispute à Cracovie son dernier tournoi de l’année, puisqu’elle a échoué en début d’année à Berlin à se qualifier pour les Jeux Olympiques.
Malgré l’absence de la star Aleksandar Atanasijevic, les protégés de Nikola Grbic ont été particulièrement impressionnants face aux champions du monde, notamment au service avec 10 aces au total (contre 4 aux Polonais), dont 4 pour Marko Ivovic (meilleur marqueur du match avec 18 points) et Srecko Lisinac (10 points). Et comme le central Marko Podrascanin en a fait voir de toutes les couleurs au block aux attaquants polonais (5 blocks et un impressionnant 9 sur 11 en attaque pour un total de 15 points), la victoire serbe ne se discute pas, elle ne l’a d’ailleurs pas été par Stéphane Antiga, le coach français de la Pologne: "La Serbie sert bien mieux que l’année dernière, on peut voir qu’elle a beaucoup travaillé. Ils ont également un très bon block et sont très organisés, sans oublier que cette équipe a toujours été forte en attaque."
Une chose est sûre, les partenaires de Benjamin Toniutti connaissent les données de la rencontre : une défaite quel que soit le score et ils rentreront prématurément en France, une victoire et ils seront qualifiés pour les demi-finales, premiers de la poule J1 s’ils gagnent 3-0 ou 3-1, deuxièmes derrière les Serbes s’ils s’imposent 3-2. Compte tenu du niveau de ce Final Six, peu leur importe finalement la place, du moment qu’ils arrivent à battre cette équipe serbe qui, en dominant jeudi la Pologne chez elle (25-23, 25-20, 18-25, 25-18), a confirmé son excellent parcours lors de la phase de poules de cette Ligue Mondiale, elle qui dispute à Cracovie son dernier tournoi de l’année, puisqu’elle a échoué en début d’année à Berlin à se qualifier pour les Jeux Olympiques.
Malgré l’absence de la star Aleksandar Atanasijevic, les protégés de Nikola Grbic ont été particulièrement impressionnants face aux champions du monde, notamment au service avec 10 aces au total (contre 4 aux Polonais), dont 4 pour Marko Ivovic (meilleur marqueur du match avec 18 points) et Srecko Lisinac (10 points). Et comme le central Marko Podrascanin en a fait voir de toutes les couleurs au block aux attaquants polonais (5 blocks et un impressionnant 9 sur 11 en attaque pour un total de 15 points), la victoire serbe ne se discute pas, elle ne l’a d’ailleurs pas été par Stéphane Antiga, le coach français de la Pologne: "La Serbie sert bien mieux que l’année dernière, on peut voir qu’elle a beaucoup travaillé. Ils ont également un très bon block et sont très organisés, sans oublier que cette équipe a toujours été forte en attaque."
Bref, c’est un gros morceau qui se présente pour l’équipe de France, qui reste sur deux succès l’an dernier face aux Serbes, en finale du Final Six à Rio (3-0) et en quarts de finale de l’Euro (3-1). Aux partenaires d’Earvin Ngapeth d’élever leur niveau de jeu pour gagner leur place dans le dernier carré et continuer à rêver d'un deuxième titre consécutif, ce que seules deux nations ont réussi à ce jour en Ligue Mondiale, le Brésil et l’Italie.
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