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01/07/2016
Les Bleus se rapprochent du Final Six
Pour ses retrouvailles avec son public vendredi à Nancy, l’équipe de France a idéalement attaqué son dernier week-end de poule de Ligue Mondiale en battant la Belgique 3-0 (25-19, 28-26, 25-20). Une victoire qui lui offre quasiment son billet pour le Final Six de Cracovie.
Le tarif maison ! Depuis son entrée dans l’édition 2016 de la Ligue Mondiale, l’équipe de France a pris l’habitude d’attaquer chaque week-end par un succès 3-0. Après l’Italie à Sydney, la Russie à Lodz, c’est la Belgique qui, cette fois, a été victime des bonnes habitudes tricolores, vaincue assez nettement par des Bleus concentrés la quasi-totalité de la rencontre et portés par un Earvin Ngapeth (15 points, meilleur marqueur du match) qui a réservé au public nancéien les quelques gestes de folie qui le rendent unique.
Comme d’habitude, le joueur de Modène n’a pas pour autant cherché à tirer la couverture à lui, satisfait que la France ait fait un grand pas vers le Final Six de Cracovie (13-17 juillet), grâce à cette cinquième victoire en sept matches. "On savait que c’était quasiment le match de la qualification pour le Final Six, presque une finale, nous avons pris trois points, je suis super content. Nous sommes les tenants du titre, nous avons envie de regagner la Ligue Mondiale, même si on sait qu’il faut gérer la fatigué liée aux JO derrière."
Cette fatigue, Laurent Tillie et son staff la gèrent plutôt bien, en impliquant la quasi-totalité du groupe. Ce vendredi, en l’absence de Kevin Tillie et Nicolas Maréchal, ménagés, c’est un six de départ composé d’Antonin Rouzier, de Trévor Clevenot, de Benjamin Toniutti, d'Earvin Ngapeth, de Kevin Le Roux et de Nicolas Le Goff qui a été aligné, mais c’est bien toute une équipe, avec les entrants (Pierre Pujol, Thibault Rossard, Franck Lafitte, Julien Lyneel) qui a eu raison des Belges, chacun ayant apporté à un moment de la rencontre sa contribution à la victoire.
Tillie: "Ils me surprennent quand même !"
Earvin Ngapeth, bien épaulé par Antonin Rouzier (13 points, à 12 sur 20 en attaque), a montré l’exemple lors d’un premier set enlevé (25-19). Le second a été plus compliqué à cause d’une petite baisse de concentration, mais alors que les Bleus étaient menés de six points (10-16) par les partenaires de Sam Deroo (15 points), ils ont offert une très belle réaction, dans la foulée de deux magnifiques inspirations de Ngapeth (16-18), Rossard et Le Roux prenant le relais pour donner une première balle de deuxième manche (24-23), la quatrième sera la bonne (28-26).
Menés de deux sets, les Diables Rouges comprennent bien vite qu’il ne leur sera pas possible de s’offrir la peau des Bleus, comme à Sydney (2-3 au terme d’un scénario rocambolesque), d’autant qu’à l’approche du money-time, un block-out de Ngapeth et un block de Rouzier mettent les champions d’Europe dans un fauteuil (20-16). C’est finalement un Lyneel bondissant qui conclut l’affaire (25-20) et envoie quasiment les Bleus à Cracovie.
Du travail vite fait bien fait qui a comblé le public lorrain mais aussi un Laurent Tillie très satisfait de ses joueurs: "Ils me surprennent quand même ! Après la décompression du TQO de Tokyo, ils ont réussi à avoir un niveau de jeu très correct en Australie puis à enchaîner en Pologne et encore aujourd’hui. Je veux qu’ils arrivent à garder ce rythme, cette mentalité, cette attitude, je veux prendre exemple sur le Brésil et sur les Américains, des gens qui ne calculent pas et sont là pour jouer et prendre des points." La réception, toujours à Nancy, de la Pologne samedi et du Brésil dimanche seront deux occasions de plus pour les tenants de la Ligue Mondiale de surprendre leur sélectionneur…
Comme d’habitude, le joueur de Modène n’a pas pour autant cherché à tirer la couverture à lui, satisfait que la France ait fait un grand pas vers le Final Six de Cracovie (13-17 juillet), grâce à cette cinquième victoire en sept matches. "On savait que c’était quasiment le match de la qualification pour le Final Six, presque une finale, nous avons pris trois points, je suis super content. Nous sommes les tenants du titre, nous avons envie de regagner la Ligue Mondiale, même si on sait qu’il faut gérer la fatigué liée aux JO derrière."
Cette fatigue, Laurent Tillie et son staff la gèrent plutôt bien, en impliquant la quasi-totalité du groupe. Ce vendredi, en l’absence de Kevin Tillie et Nicolas Maréchal, ménagés, c’est un six de départ composé d’Antonin Rouzier, de Trévor Clevenot, de Benjamin Toniutti, d'Earvin Ngapeth, de Kevin Le Roux et de Nicolas Le Goff qui a été aligné, mais c’est bien toute une équipe, avec les entrants (Pierre Pujol, Thibault Rossard, Franck Lafitte, Julien Lyneel) qui a eu raison des Belges, chacun ayant apporté à un moment de la rencontre sa contribution à la victoire.
Tillie: "Ils me surprennent quand même !"
Earvin Ngapeth, bien épaulé par Antonin Rouzier (13 points, à 12 sur 20 en attaque), a montré l’exemple lors d’un premier set enlevé (25-19). Le second a été plus compliqué à cause d’une petite baisse de concentration, mais alors que les Bleus étaient menés de six points (10-16) par les partenaires de Sam Deroo (15 points), ils ont offert une très belle réaction, dans la foulée de deux magnifiques inspirations de Ngapeth (16-18), Rossard et Le Roux prenant le relais pour donner une première balle de deuxième manche (24-23), la quatrième sera la bonne (28-26).
Menés de deux sets, les Diables Rouges comprennent bien vite qu’il ne leur sera pas possible de s’offrir la peau des Bleus, comme à Sydney (2-3 au terme d’un scénario rocambolesque), d’autant qu’à l’approche du money-time, un block-out de Ngapeth et un block de Rouzier mettent les champions d’Europe dans un fauteuil (20-16). C’est finalement un Lyneel bondissant qui conclut l’affaire (25-20) et envoie quasiment les Bleus à Cracovie.
Du travail vite fait bien fait qui a comblé le public lorrain mais aussi un Laurent Tillie très satisfait de ses joueurs: "Ils me surprennent quand même ! Après la décompression du TQO de Tokyo, ils ont réussi à avoir un niveau de jeu très correct en Australie puis à enchaîner en Pologne et encore aujourd’hui. Je veux qu’ils arrivent à garder ce rythme, cette mentalité, cette attitude, je veux prendre exemple sur le Brésil et sur les Américains, des gens qui ne calculent pas et sont là pour jouer et prendre des points." La réception, toujours à Nancy, de la Pologne samedi et du Brésil dimanche seront deux occasions de plus pour les tenants de la Ligue Mondiale de surprendre leur sélectionneur…