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Première finale pour Ajaccio.
25/03/2016
Coupe de France M: Forcément historique...
Quatre ans après avoir conquis la Coupe de France, Rennes, retombé depuis en Ligue B, tente de parachever en beauté son parcours cette saison en affrontant dimanche à Coubertin (20h45) une équipe d'Ajaccio qui dispute la première finale de son histoire.
Une finale inédite pour conclure ce dimanche à Coubertin ! Quatre ans après sa victoire historique face à Beauvais qui lui a offert la première Coupe de France de son histoire (l’équipe, alors en Ligue A, était emmenée par les Grebennikov père et fils), le Rennes Volley 35 va tenter de faire revivre les mêmes émotions à ses supporters qui, n’en doutons pas, viendront en nombre garnir les travées de la salle de la Porte de Saint-Cloud.
L’affiche peut a priori paraître déséquilibrée entre un pensionnaire de Ligue A, Ajaccio, qui a sorti le triple tenant, Tours, en demi-finale, et une formation de division inférieure, mais à y regarder de plus près, pas vraiment, tant les Bretons, tombeurs de Sète, leader de Ligue A, en demi-finales, dominent leur sujet cette saison en Ligue B : ils sont en effet assurés de terminer en tête de la saison régulière depuis le début du mois de mars, soit quatre journées avant le début des playoffs qu’ils aborderont en avril dans la peau des grands favoris à la montée, objectif clairement affiché en début de saison par des dirigeants sortis meurtris de l’exercice précédent (élimination au premier tour des playoffs de Ligue B face à Orange).
"Un cerisier sur le gâteau !"
"Je suis sûr que cette équipe-là a le niveau pour jouer en Ligue A", expliquait d’ailleurs, sitôt la qualification pour la finale en poche, le président Thibault Mativet dans les colonnes de Ouest-France, avant d’ajouter, à propos de cette Coupe de France: "Ce n’était absolument pas un objectif, ce serait prétentieux de dire qu’on avait comme objectif d’atteindre la finale. Maintenant, tout peut se passer en finale. Nous irons à Paris sereinement, nous sommes en Ligue B, nous avons créé un exploit, ce n’est même pas une cerise sur le gâteau, c’est un cerisier !"
Un cerisier que l’équipe de Nikola Matijasevic, emmenée par les joueurs d’expérience que sont les internationaux estoniens Gert Toobal (passeur) et Martti Juhkami (réceptionneur/attaquant), le pointu lituanien Arvydas Miseikis, le central Marc Zopie, l’ancien Bleu (et capitaine) Gérald Hardy-Dessources et le libero portoricain Grégory Berrios, tentera de faire fructifier à Paris avec l’objectif de marquer encore davantage l’histoire, puisque le Rennes Volley 35 (ex-REC), qui fête cette année ses 70 ans d’existence, peut devenir le premier club de Ligue B à remporter la Coupe.
Ajaccio a de l'expérience à revendre
Reste que la tâche sera loin d’être évidente face à un Gazélec d’Ajaccio qui, même s’il dispute la première finale de son histoire, a lui aussi de très solides arguments en matière d’expérience, avec le libero Jean-François Exiga, revenu au club présidé par son père Antoine (son frère Dominique est directeur sportif !), le passeur international français Toafa Takaniko, le réceptionneur/attaquant brésilien Leonardo Cruz De Miranda, les centraux Brett Dailey (Canada), Georgios Petreas (Grèce) et Michael Andrei (Allemagne), et le pointu macédonien, Jovica Simovski, capitaine de ce groupe entraîné par Frédéric Ferrandez.
Dans un championnat de Ligue A très homogène, le « Gaz » ne manque pas d’objectifs en cette fin de saison, entre playoffs de Ligue A et cette Coupe de France qui fait rêver toute l’Ile de Beauté, puisqu’en cas de victoire, ce serait le premier titre national d’un club corse en volley… Bref, quoi qu’il arrive, cette finale sera historique !
L’affiche peut a priori paraître déséquilibrée entre un pensionnaire de Ligue A, Ajaccio, qui a sorti le triple tenant, Tours, en demi-finale, et une formation de division inférieure, mais à y regarder de plus près, pas vraiment, tant les Bretons, tombeurs de Sète, leader de Ligue A, en demi-finales, dominent leur sujet cette saison en Ligue B : ils sont en effet assurés de terminer en tête de la saison régulière depuis le début du mois de mars, soit quatre journées avant le début des playoffs qu’ils aborderont en avril dans la peau des grands favoris à la montée, objectif clairement affiché en début de saison par des dirigeants sortis meurtris de l’exercice précédent (élimination au premier tour des playoffs de Ligue B face à Orange).
"Un cerisier sur le gâteau !"
"Je suis sûr que cette équipe-là a le niveau pour jouer en Ligue A", expliquait d’ailleurs, sitôt la qualification pour la finale en poche, le président Thibault Mativet dans les colonnes de Ouest-France, avant d’ajouter, à propos de cette Coupe de France: "Ce n’était absolument pas un objectif, ce serait prétentieux de dire qu’on avait comme objectif d’atteindre la finale. Maintenant, tout peut se passer en finale. Nous irons à Paris sereinement, nous sommes en Ligue B, nous avons créé un exploit, ce n’est même pas une cerise sur le gâteau, c’est un cerisier !"
Un cerisier que l’équipe de Nikola Matijasevic, emmenée par les joueurs d’expérience que sont les internationaux estoniens Gert Toobal (passeur) et Martti Juhkami (réceptionneur/attaquant), le pointu lituanien Arvydas Miseikis, le central Marc Zopie, l’ancien Bleu (et capitaine) Gérald Hardy-Dessources et le libero portoricain Grégory Berrios, tentera de faire fructifier à Paris avec l’objectif de marquer encore davantage l’histoire, puisque le Rennes Volley 35 (ex-REC), qui fête cette année ses 70 ans d’existence, peut devenir le premier club de Ligue B à remporter la Coupe.
Ajaccio a de l'expérience à revendre
Reste que la tâche sera loin d’être évidente face à un Gazélec d’Ajaccio qui, même s’il dispute la première finale de son histoire, a lui aussi de très solides arguments en matière d’expérience, avec le libero Jean-François Exiga, revenu au club présidé par son père Antoine (son frère Dominique est directeur sportif !), le passeur international français Toafa Takaniko, le réceptionneur/attaquant brésilien Leonardo Cruz De Miranda, les centraux Brett Dailey (Canada), Georgios Petreas (Grèce) et Michael Andrei (Allemagne), et le pointu macédonien, Jovica Simovski, capitaine de ce groupe entraîné par Frédéric Ferrandez.
Dans un championnat de Ligue A très homogène, le « Gaz » ne manque pas d’objectifs en cette fin de saison, entre playoffs de Ligue A et cette Coupe de France qui fait rêver toute l’Ile de Beauté, puisqu’en cas de victoire, ce serait le premier titre national d’un club corse en volley… Bref, quoi qu’il arrive, cette finale sera historique !
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