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Generali et les Bleus, une belle et longue histoire.
18/12/2015
Generali, un partenaire engagé
Présent depuis presque vingt ans au côté de la Fédération Française de Volley-Ball, Generali a renouvelé récemment son partenariat pour quatre nouvelles années. Directrice de la communication et des engagements sociétaux, Marie-Christine Lanne nous explique pourquoi.
A quand remonte le partenariat entre Generali et la FFVB ?
A quasiment vingt ans, au moment où le Groupement des Populaires d’Assurance (GPA), qui avait initié ce partenariat, est entré dans le groupe Generali. Le volley est le seul sport collectif dans notre portefeuille de sponsoring, puisque, à côté, nous sommes historiquement présents dans la voile, nous avons aussi des partenariats dans le golf et avec la Fédération Française d’Equitation. Si nous sommes restés sponsors du Volley, c’est d’abord qu’il est lié au fait que nous sommes l’assureur de la fédération mais aussi pour les valeurs qu’il véhicule, en particulier le collectif, la rapidité. C’est un sport qui nécessite d’être extrêmement concentré et bon dans l’instant, des notions également présentes dans le monde de l’entreprise.
En quasiment vingt ans, les équipes de France de volley ont connu des hauts et des bas, jusqu’à vivre cette année une épopée extraordinaire avec les Bleus de Laurent Tillie, comment avez-vous vécu cette histoire ?
Quand vous êtes partenaires pendant vingt ans, vous êtes évidemment conscients que vous n’allez pas vivre que des sommets. Entre les sommets, il y a forcément des vallées. Ce qu’il faut, c’est être là dans les mauvais comme dans les bons moments, ce que nous nous sommes attachés à faire. Cette année est effectivement exceptionnelle, c’est un peu le jackpot, la cerise sur le gâteau. C’est très satisfaisant de voir la valorisation de ce partenariat en termes de retombées médias, mais nous ne sommes pas là que pour ça, nous sommes également présents quand cela va moins bien.
Vous avez récemment reconduit ce partenariat pour quatre ans, pourquoi ?
Parce que nous avons perçu assez tôt le potentiel de cette équipe de France qui, à mes yeux, a quelque chose de particulier. Il s’en dégage une espèce de magie, avec de fortes individualités, mais aussi un collectif qui fait qu’on se dit qu’ils peuvent aller au bout de leurs ambitions. Les joueurs l’ont prouvé en remportant la Ligue Mondiale et le Championnat d’Europe, au cours desquels ils nous ont offert des instants bénis. Je comparerais volontiers avec l’équipe de France de football en 1998 : on sentait dans ce groupe quelque chose allant au-delà du rationnel, qui fédérait et allait vers l’inaccessible. Je retrouve ces ingrédients dans cette équipe de France de volley.
"De la ferveur et beaucoup de fierté"
Une équipe menée de main de maître par Laurent Tillie, quelle part prend-il selon vous dans les bons résultats des Bleus ?
Dans toute équipe qui arrive au plus haut niveau, l’entraîneur a un rôle déterminant, et c’est le cas avec Laurent Tillie. Chez Generali, nous avions fait venir il y a quelques années Aimé Jacquet à une réunion de management pour essayer de comprendre les leviers du sport de haut niveau et les transposer dans l’entreprise. Nous avions senti qu'il avait su créer cette magie du collectif, tout en respectant les individualités, parce qu'il savait ce que chacun pouvait apporter à ce collectif. C’est d’ailleurs la première fois que j’avais entendu parler de Zinédine Zidane différemment, Aimé Jacquet nous avait décrit "une personne exceptionnelle, comme il n’en existe qu’une dans une génération". Cela m’était resté, et le jour où on m’a proposé de devenir partenaire de Zinédine Zidane, je me suis souvenu de ça et j’ai tout fait pour que ce partenariat voie le jour. Aujourd’hui, il me semble que dans cette équipe de volley, il y a pareilles individualités qui conjuguent leur talent individuel pour rendre le collectif exceptionnel, avec un entraîneur capable de faire fonctionner l’ensemble.
Comment ce partenariat est-il vécu en interne ?
D’une façon très positive. L’épopée que nous a offerte l’équipe de France cette année a fédéré beaucoup de collaborateurs. Il y a de la ferveur et de la fierté de voir gagner l’équipe qui porte la marque Generali sur son maillot, c’est une valeur miroir, les salariés d’une entreprise qui soutient une équipe qui gagne se sentent associés à la victoire. L’objectif est d’essayer de faire partager au collectif de l’entreprise des situations exceptionnelles vécus par des sportifs exceptionnels, nous espérons donc que cela va continuer avec les Jeux Olympiques et qu’ils vont nous faire vivre une montée en puissance vers l’Olympe. Je pense sincèrement qu’ils peuvent non seulement se qualifier mais en plus gagner.
Quels sont les autres leviers de votre partenariat avec l’équipe de France ?
Nous essayons d’être un partenaire impliqué, en l’accompagnant lors de ses déplacements, bien sûr, mais aussi en l’engageant. L’équipe de France a ainsi répondu à l’appel de l’action que nous soutenions pour la promotion de l’égalité des sexes avec la campagne He for She, lancée par l’actrice américaine Emma Watson pour l’ONU femmes dont nous sommes partenaires. D’une manière générale, en matière de sponsoring sportif, je pense que les entreprises n’ont pas encore été au bout de ce qu'elles peuvent faire dire aux sportifs, elles n’exploitent pas assez les ressorts internes qui font que ces hommes et ces femmes tendent vers l’excellence, des parallèles méritent encore d’être faits entre le sport et l’entreprise. Nous y réfléchissons pour aller plus loin.
A quasiment vingt ans, au moment où le Groupement des Populaires d’Assurance (GPA), qui avait initié ce partenariat, est entré dans le groupe Generali. Le volley est le seul sport collectif dans notre portefeuille de sponsoring, puisque, à côté, nous sommes historiquement présents dans la voile, nous avons aussi des partenariats dans le golf et avec la Fédération Française d’Equitation. Si nous sommes restés sponsors du Volley, c’est d’abord qu’il est lié au fait que nous sommes l’assureur de la fédération mais aussi pour les valeurs qu’il véhicule, en particulier le collectif, la rapidité. C’est un sport qui nécessite d’être extrêmement concentré et bon dans l’instant, des notions également présentes dans le monde de l’entreprise.
En quasiment vingt ans, les équipes de France de volley ont connu des hauts et des bas, jusqu’à vivre cette année une épopée extraordinaire avec les Bleus de Laurent Tillie, comment avez-vous vécu cette histoire ?
Quand vous êtes partenaires pendant vingt ans, vous êtes évidemment conscients que vous n’allez pas vivre que des sommets. Entre les sommets, il y a forcément des vallées. Ce qu’il faut, c’est être là dans les mauvais comme dans les bons moments, ce que nous nous sommes attachés à faire. Cette année est effectivement exceptionnelle, c’est un peu le jackpot, la cerise sur le gâteau. C’est très satisfaisant de voir la valorisation de ce partenariat en termes de retombées médias, mais nous ne sommes pas là que pour ça, nous sommes également présents quand cela va moins bien.
Vous avez récemment reconduit ce partenariat pour quatre ans, pourquoi ?
Parce que nous avons perçu assez tôt le potentiel de cette équipe de France qui, à mes yeux, a quelque chose de particulier. Il s’en dégage une espèce de magie, avec de fortes individualités, mais aussi un collectif qui fait qu’on se dit qu’ils peuvent aller au bout de leurs ambitions. Les joueurs l’ont prouvé en remportant la Ligue Mondiale et le Championnat d’Europe, au cours desquels ils nous ont offert des instants bénis. Je comparerais volontiers avec l’équipe de France de football en 1998 : on sentait dans ce groupe quelque chose allant au-delà du rationnel, qui fédérait et allait vers l’inaccessible. Je retrouve ces ingrédients dans cette équipe de France de volley.
"De la ferveur et beaucoup de fierté"
Une équipe menée de main de maître par Laurent Tillie, quelle part prend-il selon vous dans les bons résultats des Bleus ?
Dans toute équipe qui arrive au plus haut niveau, l’entraîneur a un rôle déterminant, et c’est le cas avec Laurent Tillie. Chez Generali, nous avions fait venir il y a quelques années Aimé Jacquet à une réunion de management pour essayer de comprendre les leviers du sport de haut niveau et les transposer dans l’entreprise. Nous avions senti qu'il avait su créer cette magie du collectif, tout en respectant les individualités, parce qu'il savait ce que chacun pouvait apporter à ce collectif. C’est d’ailleurs la première fois que j’avais entendu parler de Zinédine Zidane différemment, Aimé Jacquet nous avait décrit "une personne exceptionnelle, comme il n’en existe qu’une dans une génération". Cela m’était resté, et le jour où on m’a proposé de devenir partenaire de Zinédine Zidane, je me suis souvenu de ça et j’ai tout fait pour que ce partenariat voie le jour. Aujourd’hui, il me semble que dans cette équipe de volley, il y a pareilles individualités qui conjuguent leur talent individuel pour rendre le collectif exceptionnel, avec un entraîneur capable de faire fonctionner l’ensemble.
Comment ce partenariat est-il vécu en interne ?
D’une façon très positive. L’épopée que nous a offerte l’équipe de France cette année a fédéré beaucoup de collaborateurs. Il y a de la ferveur et de la fierté de voir gagner l’équipe qui porte la marque Generali sur son maillot, c’est une valeur miroir, les salariés d’une entreprise qui soutient une équipe qui gagne se sentent associés à la victoire. L’objectif est d’essayer de faire partager au collectif de l’entreprise des situations exceptionnelles vécus par des sportifs exceptionnels, nous espérons donc que cela va continuer avec les Jeux Olympiques et qu’ils vont nous faire vivre une montée en puissance vers l’Olympe. Je pense sincèrement qu’ils peuvent non seulement se qualifier mais en plus gagner.
Quels sont les autres leviers de votre partenariat avec l’équipe de France ?
Nous essayons d’être un partenaire impliqué, en l’accompagnant lors de ses déplacements, bien sûr, mais aussi en l’engageant. L’équipe de France a ainsi répondu à l’appel de l’action que nous soutenions pour la promotion de l’égalité des sexes avec la campagne He for She, lancée par l’actrice américaine Emma Watson pour l’ONU femmes dont nous sommes partenaires. D’une manière générale, en matière de sponsoring sportif, je pense que les entreprises n’ont pas encore été au bout de ce qu'elles peuvent faire dire aux sportifs, elles n’exploitent pas assez les ressorts internes qui font que ces hommes et ces femmes tendent vers l’excellence, des parallèles méritent encore d’être faits entre le sport et l’entreprise. Nous y réfléchissons pour aller plus loin.
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